Lamborghini - 1/43e
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Lamborghini - 1/43e
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Eric B.
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- Inscription: Ven 23 Nov 2012 14:30
- Localisation: Nantes
Bonjour,
Début d'une nouvelle saga et retour aux premières amours, le 1/43e.
Lamborghini, une marque forcément mythique et très bien servie au 1/43e, les voitures sont spectaculaires et j'ai donc fini par en faire un thème de collection. Alors pourquoi ne pas commencer presque par la fin avec l'arrivée au cours de la dernière semaine de 6 Lambo que j'ai fini par trouver sur le netr.
J'avais un peu oublié ces recherches depuis en gros la Murcelago et du coup les derniers modèles Lamborghini manquaient à ma collection 1/43e. Voilà grandement réparé même si quelques modèles manquent encore et particulièrement parmi les toutes dernières dont certaines correspondent à des séries extrêmement limitées dont la représentativité est finalement discutable : je pense à la Centenario.
Lamborghini Aventador - Fujimi 1/43
Un des modèle de production qui avait échappé à ma sagacité, la Lamborghini Aventador, remplaçante de la Murcelago. Jaune pour me rappeler la seule que j'ai croisée dans la rue, lors du Tourist Trophy 2014 à l'île de Man. Ma première Fujimi.
Lamborghini Aventador - Fronti Art 1/43
La même qu'au dessus mais ne blanc. Je me suis effectivement rendu compte qu'étonnement le blanc était une couleur courante dans la collection de Lambo. Ceci plus l'occasion d'acquérir une Fronti Art a prix promotionnel m'a décidé d'acheter celle là également. Egalement ma première Fronti Art (mais je lui ai déjà trouvé une petite soeur qui sera également blanche)
Lamborghini Huracan - Kyosho 1/43
L'autre modèle de série récent que je n'avais pas intégré à ma collection, la Huracan qui elle remplace la Gallardo. Mon attachement au métal quand je peux m'a fait choisir celle ci, une Kyosho de très bonne facture
Lamborghini Sesto Elemento - Auto Art 1/43
Un modèle spécial construit dans une fibre de carbone-plastique développée par Lamborghini et Boeing, 20 construites et non homologuées pour un usage routier. Auto Art est une bonne source pour les Lamborghini au 1/43e - Métal également pour celle ci.
Lamborghini Veneno Coupé - Kyosho 1/43
La Lamborghini Veneno a été créée pour fêter les cinquante ans de la marque. Seulement quatre coupés ont été construits, dont un pour le musée Lamborghini. Modèle Kyosho et en métal également.
Lamborghini Veneno Roadster - Kyosho 1/43
Après la production des 4 coupé, Lamborghini a prolongé la production de la Veneno avec 9 roadsters. Modèle Kyosho métal!
A bientôt pour la poursuite de la saga Lambo 1/43e
Eric B.
Début d'une nouvelle saga et retour aux premières amours, le 1/43e.
Lamborghini, une marque forcément mythique et très bien servie au 1/43e, les voitures sont spectaculaires et j'ai donc fini par en faire un thème de collection. Alors pourquoi ne pas commencer presque par la fin avec l'arrivée au cours de la dernière semaine de 6 Lambo que j'ai fini par trouver sur le netr.
J'avais un peu oublié ces recherches depuis en gros la Murcelago et du coup les derniers modèles Lamborghini manquaient à ma collection 1/43e. Voilà grandement réparé même si quelques modèles manquent encore et particulièrement parmi les toutes dernières dont certaines correspondent à des séries extrêmement limitées dont la représentativité est finalement discutable : je pense à la Centenario.
Lamborghini Aventador - Fujimi 1/43
Un des modèle de production qui avait échappé à ma sagacité, la Lamborghini Aventador, remplaçante de la Murcelago. Jaune pour me rappeler la seule que j'ai croisée dans la rue, lors du Tourist Trophy 2014 à l'île de Man. Ma première Fujimi.
Lamborghini Aventador - Fronti Art 1/43
La même qu'au dessus mais ne blanc. Je me suis effectivement rendu compte qu'étonnement le blanc était une couleur courante dans la collection de Lambo. Ceci plus l'occasion d'acquérir une Fronti Art a prix promotionnel m'a décidé d'acheter celle là également. Egalement ma première Fronti Art (mais je lui ai déjà trouvé une petite soeur qui sera également blanche)
Lamborghini Huracan - Kyosho 1/43
L'autre modèle de série récent que je n'avais pas intégré à ma collection, la Huracan qui elle remplace la Gallardo. Mon attachement au métal quand je peux m'a fait choisir celle ci, une Kyosho de très bonne facture
Lamborghini Sesto Elemento - Auto Art 1/43
Un modèle spécial construit dans une fibre de carbone-plastique développée par Lamborghini et Boeing, 20 construites et non homologuées pour un usage routier. Auto Art est une bonne source pour les Lamborghini au 1/43e - Métal également pour celle ci.
Lamborghini Veneno Coupé - Kyosho 1/43
La Lamborghini Veneno a été créée pour fêter les cinquante ans de la marque. Seulement quatre coupés ont été construits, dont un pour le musée Lamborghini. Modèle Kyosho et en métal également.
Lamborghini Veneno Roadster - Kyosho 1/43
Après la production des 4 coupé, Lamborghini a prolongé la production de la Veneno avec 9 roadsters. Modèle Kyosho métal!
A bientôt pour la poursuite de la saga Lambo 1/43e
Eric B.
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Chris06
- Messages: 6205
- Inscription: Mar 1 Jan 2013 23:28
Belle collection et belle finition, presque du 1/18. Bluffant ..
Ma preferée : la blanche..
Ma preferée : la blanche..
Envoyer depuis mon ail faune
Sur Instagram : chriszerosix
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Dark
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- Inscription: Mar 31 Mai 2011 22:30
Extra cet exposé .....de très beaux modèles
J'adore Lambo......
je regrette cependant l'absence de participation aux complétions de cette prestigieuse marque automobile
Imagine une lambo aux 24 h .....je suis sûr que tu y as pensé Éric
J'adore Lambo......
je regrette cependant l'absence de participation aux complétions de cette prestigieuse marque automobile
Imagine une lambo aux 24 h .....je suis sûr que tu y as pensé Éric
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Eric B.
- Messages: 1190
- Inscription: Ven 23 Nov 2012 14:30
- Localisation: Nantes
Thierry,
Il y en a eu quelques unes, pas des protos et pas en position de gagner - les résultats ont généralement été très moyens même en GT. Ici une Murcelago au Mans 2007.
J'ai une belle représentation de cette voiture dans ma collection 1/43e.
La culture compétition n'est pas celle de Ferrari ou de Porsche. Je pense que chez Lamborghini ce sont vraiment les voitures exceptionnelles qui construisent seules la renommée de la marque, chez Ferrari ou Porsche ce sont les voitures mais au moins autant sinon plus l'histoire en compétition..
Chris : oui elle est très fine : ma première et seule Fronti Art à cette date comme je le disais, c'est très très fin.
Eric B.
Il y en a eu quelques unes, pas des protos et pas en position de gagner - les résultats ont généralement été très moyens même en GT. Ici une Murcelago au Mans 2007.
J'ai une belle représentation de cette voiture dans ma collection 1/43e.
La culture compétition n'est pas celle de Ferrari ou de Porsche. Je pense que chez Lamborghini ce sont vraiment les voitures exceptionnelles qui construisent seules la renommée de la marque, chez Ferrari ou Porsche ce sont les voitures mais au moins autant sinon plus l'histoire en compétition..
Chris : oui elle est très fine : ma première et seule Fronti Art à cette date comme je le disais, c'est très très fin.
Eric B.
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Eric B.
- Messages: 1190
- Inscription: Ven 23 Nov 2012 14:30
- Localisation: Nantes
Thierry,
Extrait du site "24 heures du Mans" l'histoire complète et jusqu'à présent très peu glorieuse de Lamborghini au Mans : à ce jour des participations de 2006 à 2010, avec des Murcelago et aucun classement et beaucoup d'abandons très très tôt dans l'épreuve..
A la différence de ses concurrentes transalpines telles Ferrari, Maserati, Alfa Romeo et Lancia, l’aventure en compétition de la marque au taureau est tout à fait contemporaine. Aux 24 Heures du Mans, l’histoire a réellement débuté en 2006 alors que l’entreprise soufflait cette année-là ses 55 bougies. Il y eut toutefois une première tentative auparavant.
Ainsi, lors de l’édition 1975 de l'épreuve sarthoise, Paul Rilly engage une 400 GT « Islero » à moteur V12 pour Roger Le Veve et lui-même. Aligné en catégorie GTX, le Coupé 2+2 ne verra malheureusement jamais la grille de départ après un accident survenu lors des essais, aux mains d’un pilote de Formule 2 inconnu. Pourtant, le désengagement inattendu des troupes du NART de Luigi Chinetti aurait pu permettre à l’Islero n°34 d’être repêchée. Les moyens de communication étant alors ceux de l’époque, l’information arrivera bien trop tardivement aux oreilles d’un Paul Rilly décontenancé. Il faudra alors attendre 31 années pour revoir un taureau de combat fouler l’asphalte sarthois.
En 2006, la classe LM GT1 est la catégorie reine des voitures de Grand-Tourisme. Face aux Aston Martin DBR9, Corvette C6.R, Saleen S7-R et Ferrari 550 GTS, une Lamborghini Murciélago R-GT écrit les premières pages de l’histoire commune entre les 24 Heures du Mans et le prestigieux constructeur, désormais dans l’escarcelle du Groupe Volkswagen. Cette auto, au physique imposant, est conçue et développée dans les ateliers de Reiter Engineering, en Bavière.
Au Mans, c’est aux couleurs de ce JLOC ( Japan Lamborghini Ownership Club) que la voiture n°53 se présente pour Marco Apicella, Yasutaka Hinoi et Kouji Yamanishi. Le galop d’essai est peu concluant puisqu’à l’issue d’une course ponctuée de nombreux problèmes techniques, l’équipage italo-japonais ne parviendra pas à boucler le dernier tour de course et figurera non-classé à l’arrivée de cette 74e édition.
L’année suivante, un engagement semblable est enregistré avec le soutien logistique de l’équipe sarthoise DAMS. Ainsi, l’équipe, la voiture et deux des trois pilotes sont maintenus. Seul Yasutaka Hinoi est remplacé par son compatriote Atsushi Yogou. En principe plus performante et surtout plus fiable après une première expérience formatrice, la Murcielago R-GT noire ne connaîtra guère de meilleur résultat. Pire encore. Dès la première séance du mercredi, Marco Apicella sort violement à la première chicane des Hunaudières, détruit l’auto et doit renoncer à prendre part à la course. Malgré le travail remarquable des mécaniciens, qui remettent en état la voiture, l’aventure ne durera qu’un seul et unique tour : boîte de vitesses cassée !
En 2008, la Lamborghini Murciélago R-GT présente aux 24 Heures du Mans change d’appartenance, au profit du drapeau russe. Engagée par l’équipe Interprogressbank Spartak Racing de German Gorbuntsov pour Roman Rusinov, Mike Hezemans et Peter Kox, la R-GT blanche est désormais directement supervisée par Hans Reiter. Sur un rythme de 3’52 au tour, les performances sont encourageantes et l’équipage n°55 se positionne derrière les favoris Corvette Racing, Aston Martin Racing et Larbre Compétition.
Après une deuxième place de catégorie lors des 1 000 km de Spa-Francorchamps, l’optimisme est de rigueur lorsque le départ est donné. La réalité de l’épreuve sera toutefois plus rude. A l’image de la première tentative menée par JLOC en 2006, la course de la Murciélago R-GT sera émaillée de défaillances mécaniques qui ne permettront pas aux pilotes d’inscrire la voiture sur la feuille de résultat final. La distance est, une seconde fois, insuffisante pour rentrer dans la règle des 70%, basée sur le kilométrage de l’Audi R10 TDI victorieuse.
Le Japan Lamborghini Owners Club fait son retour dans la Sarthe en 2009, avec une voiture assemblée au Japon. Pour cette 77e édition des 24 Heures du Mans, Ietoshi Kaneko renforce l’équipe dirigée par Isao Noritake qui doit effectuer certaines modifications techniques pour l’homologation de l’auto au Mans. Pas ou peu préparée et sans pièce de rechange, la Lamborghini Murciélago R-GT de Yutaka Yamagishi, Marco Apicella et Atsushi Yogou entame difficilement les essais.
Dans son tout premier tour de piste, Atsushi Yogo immobilise la belle italienne après que l’arbre de transmission ait rompu. Sans l’organe de rechange disponible dans son stand, Ietoshi Kaneko se met alors à la recherche de la précieuse pièce pour finalement sonner à la porte des ateliers de Hans Reiter, en Allemagne. Les deux cardans sont montés sur la voiture, à la hâte, lors des essais du jeudi qui confirment l’agonie de la R-GT n°68 dont les entrailles subissent d’importantes fuites d’huile. Dans un contexte tendu et désespéré, Marco Apicella jette l’éponge et déclare forfait. En accord avec les managers de l’équipe et les partenaires, la décision est alors prise de ne faire couvrir qu’un tour symbolique à la voiture et c’est Yutaka Yamagishi qui s’acquitte de la tâche le samedi. Le Japonais rentre à son box à l’issue du premier tour, l’abandon est officialisé.
Nullement découragé, Isao Noritake poursuit l'aventure sarthoise en 2010 en engageant une Murciélago, répondant désormais à l’appellation LP670 R-SV. Pour cette dernière année d’existence de la classe LM GT1, il n’est alors nullement question de performance lorsque les objectifs sont fixés et les pilotes, responsables et mécaniciens de l’équipe n’ambitionnent que le drapeau à damier. Qualifié en 4’05’’170, à des encablures des autres concurrents de la catégorie, l’équipage Atsushi Yogou, Kouji Yamanishi et Hiroyuki Iiri connaîtra, une fois de plus, des problèmes mécaniques à répétition. Tandis qu’un radiateur récalcitrant en début de course plombera l’ambiance, la rupture de l’embrayage scellera définitivement le sort des hommes du Club Lamborghini japonais à la 18e heure de course...
Avec les liens au site
http://www.24h-lemans.com/fr/actualites ... 18112.html
http://www.24h-lemans.com/fr/actualites ... 18113.html
Eric B.
Extrait du site "24 heures du Mans" l'histoire complète et jusqu'à présent très peu glorieuse de Lamborghini au Mans : à ce jour des participations de 2006 à 2010, avec des Murcelago et aucun classement et beaucoup d'abandons très très tôt dans l'épreuve..
A la différence de ses concurrentes transalpines telles Ferrari, Maserati, Alfa Romeo et Lancia, l’aventure en compétition de la marque au taureau est tout à fait contemporaine. Aux 24 Heures du Mans, l’histoire a réellement débuté en 2006 alors que l’entreprise soufflait cette année-là ses 55 bougies. Il y eut toutefois une première tentative auparavant.
Ainsi, lors de l’édition 1975 de l'épreuve sarthoise, Paul Rilly engage une 400 GT « Islero » à moteur V12 pour Roger Le Veve et lui-même. Aligné en catégorie GTX, le Coupé 2+2 ne verra malheureusement jamais la grille de départ après un accident survenu lors des essais, aux mains d’un pilote de Formule 2 inconnu. Pourtant, le désengagement inattendu des troupes du NART de Luigi Chinetti aurait pu permettre à l’Islero n°34 d’être repêchée. Les moyens de communication étant alors ceux de l’époque, l’information arrivera bien trop tardivement aux oreilles d’un Paul Rilly décontenancé. Il faudra alors attendre 31 années pour revoir un taureau de combat fouler l’asphalte sarthois.
En 2006, la classe LM GT1 est la catégorie reine des voitures de Grand-Tourisme. Face aux Aston Martin DBR9, Corvette C6.R, Saleen S7-R et Ferrari 550 GTS, une Lamborghini Murciélago R-GT écrit les premières pages de l’histoire commune entre les 24 Heures du Mans et le prestigieux constructeur, désormais dans l’escarcelle du Groupe Volkswagen. Cette auto, au physique imposant, est conçue et développée dans les ateliers de Reiter Engineering, en Bavière.
Au Mans, c’est aux couleurs de ce JLOC ( Japan Lamborghini Ownership Club) que la voiture n°53 se présente pour Marco Apicella, Yasutaka Hinoi et Kouji Yamanishi. Le galop d’essai est peu concluant puisqu’à l’issue d’une course ponctuée de nombreux problèmes techniques, l’équipage italo-japonais ne parviendra pas à boucler le dernier tour de course et figurera non-classé à l’arrivée de cette 74e édition.
L’année suivante, un engagement semblable est enregistré avec le soutien logistique de l’équipe sarthoise DAMS. Ainsi, l’équipe, la voiture et deux des trois pilotes sont maintenus. Seul Yasutaka Hinoi est remplacé par son compatriote Atsushi Yogou. En principe plus performante et surtout plus fiable après une première expérience formatrice, la Murcielago R-GT noire ne connaîtra guère de meilleur résultat. Pire encore. Dès la première séance du mercredi, Marco Apicella sort violement à la première chicane des Hunaudières, détruit l’auto et doit renoncer à prendre part à la course. Malgré le travail remarquable des mécaniciens, qui remettent en état la voiture, l’aventure ne durera qu’un seul et unique tour : boîte de vitesses cassée !
En 2008, la Lamborghini Murciélago R-GT présente aux 24 Heures du Mans change d’appartenance, au profit du drapeau russe. Engagée par l’équipe Interprogressbank Spartak Racing de German Gorbuntsov pour Roman Rusinov, Mike Hezemans et Peter Kox, la R-GT blanche est désormais directement supervisée par Hans Reiter. Sur un rythme de 3’52 au tour, les performances sont encourageantes et l’équipage n°55 se positionne derrière les favoris Corvette Racing, Aston Martin Racing et Larbre Compétition.
Après une deuxième place de catégorie lors des 1 000 km de Spa-Francorchamps, l’optimisme est de rigueur lorsque le départ est donné. La réalité de l’épreuve sera toutefois plus rude. A l’image de la première tentative menée par JLOC en 2006, la course de la Murciélago R-GT sera émaillée de défaillances mécaniques qui ne permettront pas aux pilotes d’inscrire la voiture sur la feuille de résultat final. La distance est, une seconde fois, insuffisante pour rentrer dans la règle des 70%, basée sur le kilométrage de l’Audi R10 TDI victorieuse.
Le Japan Lamborghini Owners Club fait son retour dans la Sarthe en 2009, avec une voiture assemblée au Japon. Pour cette 77e édition des 24 Heures du Mans, Ietoshi Kaneko renforce l’équipe dirigée par Isao Noritake qui doit effectuer certaines modifications techniques pour l’homologation de l’auto au Mans. Pas ou peu préparée et sans pièce de rechange, la Lamborghini Murciélago R-GT de Yutaka Yamagishi, Marco Apicella et Atsushi Yogou entame difficilement les essais.
Dans son tout premier tour de piste, Atsushi Yogo immobilise la belle italienne après que l’arbre de transmission ait rompu. Sans l’organe de rechange disponible dans son stand, Ietoshi Kaneko se met alors à la recherche de la précieuse pièce pour finalement sonner à la porte des ateliers de Hans Reiter, en Allemagne. Les deux cardans sont montés sur la voiture, à la hâte, lors des essais du jeudi qui confirment l’agonie de la R-GT n°68 dont les entrailles subissent d’importantes fuites d’huile. Dans un contexte tendu et désespéré, Marco Apicella jette l’éponge et déclare forfait. En accord avec les managers de l’équipe et les partenaires, la décision est alors prise de ne faire couvrir qu’un tour symbolique à la voiture et c’est Yutaka Yamagishi qui s’acquitte de la tâche le samedi. Le Japonais rentre à son box à l’issue du premier tour, l’abandon est officialisé.
Nullement découragé, Isao Noritake poursuit l'aventure sarthoise en 2010 en engageant une Murciélago, répondant désormais à l’appellation LP670 R-SV. Pour cette dernière année d’existence de la classe LM GT1, il n’est alors nullement question de performance lorsque les objectifs sont fixés et les pilotes, responsables et mécaniciens de l’équipe n’ambitionnent que le drapeau à damier. Qualifié en 4’05’’170, à des encablures des autres concurrents de la catégorie, l’équipage Atsushi Yogou, Kouji Yamanishi et Hiroyuki Iiri connaîtra, une fois de plus, des problèmes mécaniques à répétition. Tandis qu’un radiateur récalcitrant en début de course plombera l’ambiance, la rupture de l’embrayage scellera définitivement le sort des hommes du Club Lamborghini japonais à la 18e heure de course...
Avec les liens au site
http://www.24h-lemans.com/fr/actualites ... 18112.html
http://www.24h-lemans.com/fr/actualites ... 18113.html
Eric B.
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Dark
- Messages: 23536
- Inscription: Mar 31 Mai 2011 22:30
voila un retour complet et precis comme a ton habitude Eric ....je decouvre....
mais je pense que ce sont des engagements prives ...avec les moyens que cela impliquent
je parlais plus de la marque ....le constructeur n a jamais engagé de voiture officiellement a aucunes courses ...non
mais je pense que ce sont des engagements prives ...avec les moyens que cela impliquent
je parlais plus de la marque ....le constructeur n a jamais engagé de voiture officiellement a aucunes courses ...non
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Dark
- Messages: 23536
- Inscription: Mar 31 Mai 2011 22:30
A la relecture on s'aperçoit que le taureau a des sabots d'argile ......
Beau et puissant mais fragile ...trop ....sans doute ....pour une épreuve d'endurance
Ceci dit l'orsque ....l'on croise une Lamborghini .....l'instant reste inoubliable .....
Beau et puissant mais fragile ...trop ....sans doute ....pour une épreuve d'endurance
Ceci dit l'orsque ....l'on croise une Lamborghini .....l'instant reste inoubliable .....
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Antoine
- Messages: 7339
- Inscription: Sam 10 Déc 2011 14:51
- Localisation: Provence Alpes Côte d'Azur
Comme quoi...Mais la mécanique est soumise à rude épreuve.
Antoine. L'homme est la pièce rapportée de la Nature : il passe son temps à mesurer...
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Dark
- Messages: 23536
- Inscription: Mar 31 Mai 2011 22:30
Antoine a écrit:
Comme quoi...Mais la mécanique est soumise à rude épreuve.
comme l'orange
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Eric B.
- Messages: 1190
- Inscription: Ven 23 Nov 2012 14:30
- Localisation: Nantes
Salut à tous,
La Lamborghini Murcelago LM 2007 proposée par Kyosho au 1/43e. Piètre résultat pour une voiture quasiment détruite sur accident et feu au cours des essais, réparée mais tout juste capable de faire une tour en piste.. Le modèle lui est très correct avec un beau rendu carbone. Le toit chrome sur la voiture 2007 pour réduire la température de l'habitacle est bien rendu. Modél métal.
Lamborghini Sesto Elemento - Fronti Art 1/43
Pour continuer pour les séries récentes tout d'abord une Sesto Elemento Fronti Art résine (ma seconde et peut être dernière - la marque est assez peu distribuée et j'ai trouvé celle ci dans des fonds de stocks).
Vraiment du très très fin, habitacle avec des ceintures de sécurité présentes et reproduites avec des boucles en photodécoupe.
Lamborghini Sesto Elemento - White Box 1/43
Beaucoup moins fin en métal pour cette White Box. Une marque récente qui fait dans de bons modèles en rapport qualité prix, sur des voitures peu reproduites. Qualité prix OK, qualité absolue moindre et je me tâte pour jouer à quelque chose que je ne fais jamais : détailler un modèle industriel, ne serait ce qu'avec des petits détails de peintures..
A près ces présentations d'acquisitions récentes (à l'execption de la Lamborghini Murcelago LM) je reprendrais cette saga avec un point de vue plus historique et donc dans une présentation plus chronologique.
Eric B.
La Lamborghini Murcelago LM 2007 proposée par Kyosho au 1/43e. Piètre résultat pour une voiture quasiment détruite sur accident et feu au cours des essais, réparée mais tout juste capable de faire une tour en piste.. Le modèle lui est très correct avec un beau rendu carbone. Le toit chrome sur la voiture 2007 pour réduire la température de l'habitacle est bien rendu. Modél métal.
Lamborghini Sesto Elemento - Fronti Art 1/43
Pour continuer pour les séries récentes tout d'abord une Sesto Elemento Fronti Art résine (ma seconde et peut être dernière - la marque est assez peu distribuée et j'ai trouvé celle ci dans des fonds de stocks).
Vraiment du très très fin, habitacle avec des ceintures de sécurité présentes et reproduites avec des boucles en photodécoupe.
Lamborghini Sesto Elemento - White Box 1/43
Beaucoup moins fin en métal pour cette White Box. Une marque récente qui fait dans de bons modèles en rapport qualité prix, sur des voitures peu reproduites. Qualité prix OK, qualité absolue moindre et je me tâte pour jouer à quelque chose que je ne fais jamais : détailler un modèle industriel, ne serait ce qu'avec des petits détails de peintures..
A près ces présentations d'acquisitions récentes (à l'execption de la Lamborghini Murcelago LM) je reprendrais cette saga avec un point de vue plus historique et donc dans une présentation plus chronologique.
Eric B.
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Dark
- Messages: 23536
- Inscription: Mar 31 Mai 2011 22:30
excellent tout ça ....je suis dans tous mes états d’âme ..Eric
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