PORTAGO
Posté: Sam 12 Jan 2013 15:34
la Mort de Portago et des Mille Miglia
Un peu d'histoire pour commencer.
Les Mille Miglia sont nées d'un contentieux entre les villes de Milan et de Brescia.
En effet, en 1922 le Grand Prix d'Italie avait été transféré du circuit de Montichiari près de Brescia
À l'autodrome de Monza, près de Milan.
Les habitants de Brescia se sentirent d'autant plus insultés
Que leur ville était considérée comme l'un des berceaux du Sport Automobile Italien,
Des courses y étant organisées depuis 1899.
A la création de l'Automobile Club de Brescia en 1927,
Il fut décidé d'organiser une course longue distance couvrant une large part de l'Italie,
Ce qui permettrait de promouvoir l'automobile aux portes même des clients potentiels.
L'industrie automobile y vit immédiatement l'occasion de prouver
La fiabilité de ses voitures et le gouvernement la possibilité
De montrer la modernité de l'Italie
Tout en popularisant l'automobile, source d'emplois et de taxes.
Il fut donc décidé que la course irait de Brescia à Rome (pour flatter le régime fasciste)
Puis retour à Brescia pour un total de 1600 km.
La flatterie fut payante puisque l'objection du Sénateur Crespi
(Incidemment patron de l'Automobile Club de Milan)
Jugeant la course trop dangereuse fut ignorée.
L'avenir donnerait raison au Sénateur mais pas avant d'avoir écrit une page mythique du sport automobile.
Restait a trouver un nom: la légende l'attribue à Franco Mazzotti qui,
De retour d'un voyage aux Etats Unis,
Convertit les 1600 km du trajet en 1000 miles et proposa le nom de Mille Miglia Cup,
Ce qui fut accepté au prétexte que les Romains aussi mesuraient les distances en miles.
La première course tenue en 1927 attira 77 compétiteurs.
25000 soldats furent disposés le long des routes pour assurer la sécurité des spectateurs.
Les 1628 kilomètres de l'épreuve furent couvert à la vitesse moyenne de 77 km/h,
Déjà impressionnante pour l'époque. Il fut alors décidé, par Mussolini notamment,
Que l'évènement devait être répété et certains constructeurs commencèrent à développer
Des modèles spécifiques, comme Bugatti et sa Type 43.
Je ne reviendrai pas ici sur les 25 éditions que connut la course
Mais certains pilotes entrèrent bel et bien dans la légende par leurs exploits, tels Tazio Nuvolari
Qui aurait conduit tous feux éteints en 1930 pour cacher sa présence à son adversaire direct,
Achille Varzi, qui le précédait et remporter la course, ou Juan Manuel Fangio
Et sa folle chevauchée sous la pluie en 1956,
Sans oublier Giannino Marzotto qui remporta la victoire en 1950 habillé en costume cravate.
Parmi l'imagerie mythique de la course,
On notera également les numéros de course correspondant à l'heure de départ,
Peints directement à même la carrosserie des concurrents.
Aujourd'hui encore, de nombreuses Ferrari historiques
Arborent fièrement leur numéro de départ (535, 537, 600, 724 )
. Sans oublier la fameuse flèche rouge qui sert d'emblème à la course.
En 1938, l'accident d'une Lancia causa la mort de 10 spectateurs dont 7 enfants
et la course fut suspendue jusqu'en 1947. 1947
est évidemment une année mémorable puisqu'elle marqua l'engagement de Ferrari
pour la première fois, l'année de la création de la marque.
Le constructeur de Maranello allait régner sans partage sur la course
pendant 7 ans avant que Lancia (et Alberto Ascari) puis Mercedes (et Stirling Moss)
ne parviennent à mettre un terme à cette domination.
Ferrari gagna de nouveau en 1956 et lors de la dernière édition en 1957.
Après avoir culminé à 521 en 1955,
le nombre d'inscrit fut limité à 298 en 1957 et Piero Taruffi l'emporta à une vitesse moyenne de 152 km/h.
Rappelons tout de même qu'il s'agissait de couvrir 1600 km sans faire de pause,
sur des routes parfois en mauvais état et que le pilote était souvent seul pour conduire
pendant plus de 10 heures consécutives.
Ces éléments plutôt déraisonnables ne pouvaient que mener à des accidents
et c'est ce qui arriva quand à quarante kilomètres de l'arrivée,
un pneu de la Ferrari du Marquis Alfonso de Portago explosa:
la sortie de route coûta la vie à dix spectateurs
en plus de celle du pilote et de son copilote Edmund Gurner Nelson.
Après le terrible drame du Mans deux ans plus tôt,
le gouvernement Italien prit immédiatement la décision d'interdire la course.
PORTAGO. De son vrai nom
Alfonso Antonio Vicente Eduardo Ángel Blas Francisco
de Borja Cabeza de Vaca et Leighton,
13eme Marquis de Portago
12eme Comte de la Mejorada et grand d Espagne
Dit ( Alfonso de Portago) ou pour ces amis( Fon de Portago)
hommage à celui que le commendatore surnommait" l'aristocrate de la course"
une époque qui signifiait que monter dans une voiture de course était un risque
que tous ces gladiateurs des circuits acceptaient au risque d'y laisser leur vie ,
fon de portago était un personnage ! un vrai ! aristocrate ,
play-boy , joueur , épicurien
il était connu et apprécié par tous ses camarades
ainsi que par ses adversaires , enzo ferrari fut très meurtri par ce drame
Alfonso de Portago ne disputa que peu de courses, avec de belles performances tout de même.
Né à Londres, Alfonso est passé par les courses de chevaux, la natation et le bobsleigh,
avant finalement de se tourner vers la course automobile dès 1954,
presque exclusivement avec Ferrari.
Il fait une forte impression lors de sa première course de voitures de sport,
les 1000 km de Buenos Aires, où il termina 2ème avec Harry Schell,
une performance qu'il ne pourra réitérer dans la suite de l'année. Dès 1955,
il fait ses débuts en F1, disputant 5 courses hors championnat.
Une voiture peu fiable l'empêcha de faire mieux que 8ème à Pau.
La saison suivante, en 1956, Fon termine 3ème des 1000 km du Nürburgring.
Cette même saison, il court sa première course dans le championnat du monde de F1,
au GP de France. Lors de l'épreuve suivante en Grande-Bretagne,
il dut laisser sa voiture à Peter Collins, qui termina 2ème de la course derrière Fangio.
Alfonso se retrouve donc 2ème par défaut.
La suite de la saison ne lui offrira pas de grands moments,
si ce n'est en voitures de sport, une 3ème place en Suède. En 1957,
la saison commence plutôt bien,
Fon reprend à mi-course la voiture de Jose Froilan Gonzalez et termine 5ème en Argentine.
La semaine suivante, il termine 3ème des 100 km de Buenos Aires.
Lors des Mille Miglia, Alfonso de Portago est victime d'un accident
qui lui coûtera la vie, ainsi qu'à son coéquipier Edmund Nelson,
10 spectateurs, et l'épreuve elle-même qui ne sera plus courue.
............................................................................................................................................
LE MODEL ET DIORAMA
La vue de cette carcasse disloquée m'a de suite profondément interpellé
Et pourquoi, même, brisée cette Ferrari reste belle
Potago et sa 315 s..
Je me suis permis de rassembler les posts
Gerard GOERGEN
Alors là,tu t'es surpassé:c'est comme un truc que l'on fait quand on est inspiré par un évènement,
tu es étonné toi même après coup d'avoir réussi à faire ressortir une telle émotion.
Tu as l'impression que tu étais vraiment là à cette époque et du coup,tu sors un truc génial.
Gerard GOERGEN
Salut Thierry ,
un , tu as de l'idée , deux tu as beaucoup de talent , trois c'est
hallucinant le réalisme que tu as su représenté , le détail est exceptionnel
, un mot chapeau !!
Je pense que tu peux te faire une spécialité en fabriquant tes diorama et
les vendre ( à bon prix ) , car ils sont magnifiques , encore bravo .
Amicalement ,
Philippe
(Just stunning! You ARE nuttier than I am!! HA!!)
Dennis
"Juste magnifique ! Tu es meilleur casseur que je ne le suis !! Ha "
bravo cobos ! par ton fabuleux travail tu rend aussi un bel hommage
à celui que le commendatore surnommait" l'aristocrate de la course"
une époque qui signifiait que monter dans une voiture de course
était un risque que tous ces gladiateurs des circuits acceptaient
au risque d'y laisser leur vie , fon de portago était un personnage
! un vrai ! aristocrate , play-boy , joueur , épicurien ,
il était connu et appréciés par tous ses camarades ainsi que ses adversaires ,
enzo ferrari fut très meurtri par ce drame et j'imagine qu' a travers ta réalisation toi aussi
P..... Cobos, je te filerai jamais les clefs de ma voiture !
TRAVAIL EXCEPTIONNEL, JE SUIS ADMIRATIF Tu m'en fais une quand tu veux...
Le plissé de la carrosserie est renversant
Jaroslav
excalibure159951
hallucinantes de realismes toutes tes realisations felicitation continues !!!!!!!
Jaroslav
It´s an absolutly true ...
dbo
Je suis sur le cul, c'est hallucinant ce que tu réussis à faire.
Il ne suffit pas d'avoir les idées, de bien choisir le modèle, l'histoire à raconter, il faut du talent.
Respect
john.d
A ce niveau c'est de L'ART !!
Et encore j n’ai pas forcé car elle est plus trasch que ça en réalité (plus
Jaroslav
The transparent film at your diorama evokes the water. It looks totally transparently and it´s superb. Please, what is it the matieral? And destroyed model - it is a separated category ...
Sharknose a écrit:
Bon quand je parlais de mon envie de voir un jour une 315S chez CMC c'était afin d'en exposer une à coté de mes autres Ferrari de cette époque mais là, c'est loupé
la pauvre a vraiment morflée, c'est triste de finir ainsi snif!!
Beau travail
ok Jaroslav, the water is made by resine cristal EPOXY
and the body s car with plastic thermoform
the (chassis) with recuperation parts
je commençais a le penser, maintenant j'en suis sur... t'es completement malade
superbe realisation cobos, je suis absolument scié par le realisme !!! magnifique hommage que tu fais la, et merci pour la petite histoire
Quel dio sublime, je suis encore une fois sur le c.. devant ton savoir-faire exceptionnel, chapeau l'artiste!!
Je suis bouche bée ! Je ne sais plus quoi dire !! Non seulement un historique passionnant et une mise en scène époustoufante ! Sans compter le boulot que cela a dû représenter ..... l'artiste !!
et total respect !
Oh my God !!!
Ce que tu nous as montré précédemment était plus que fort, mais là ... là ...
j'ai pas de termes appropriés tellement c'est impressionnant !! Bravo Cobos
dbo
fiorano a écrit:
bravo cobos ! par ton fabuleux travail tu rend aussi un bel hommage
à celui que le commendatore surnommait" l'aristocrate de la course"
une époque qui signifiait que monter dans une voiture de course
était un risque que tous ces gladiateurs des circuits acceptaient au risque d'y laisser leur vie
fon de portago était un personnage ! un vrai ! aristocrate , play-boy ,
joueur , épicurien ,il était connu et appréciés par tous ses camarades
ainsi que ses adversaires , enzo ferrari fut très meurtri
par ce drame et j'imagine qu' a travers ta réalisation toi aussi
.........................................................................................................................................
DESSOUS DES CARTES
MAKING OF
FERRARIS 315 S AVANT LE CRASH
FERRARI 315 S . Portago.Nelson. M. Miglia.1957 base CMC 1/18
http://www.ferrari-modelisme.com/forum/ ... 980#226980 LIEN
[/quote]
[/img]
Un peu d'histoire pour commencer.
Les Mille Miglia sont nées d'un contentieux entre les villes de Milan et de Brescia.
En effet, en 1922 le Grand Prix d'Italie avait été transféré du circuit de Montichiari près de Brescia
À l'autodrome de Monza, près de Milan.
Les habitants de Brescia se sentirent d'autant plus insultés
Que leur ville était considérée comme l'un des berceaux du Sport Automobile Italien,
Des courses y étant organisées depuis 1899.
A la création de l'Automobile Club de Brescia en 1927,
Il fut décidé d'organiser une course longue distance couvrant une large part de l'Italie,
Ce qui permettrait de promouvoir l'automobile aux portes même des clients potentiels.
L'industrie automobile y vit immédiatement l'occasion de prouver
La fiabilité de ses voitures et le gouvernement la possibilité
De montrer la modernité de l'Italie
Tout en popularisant l'automobile, source d'emplois et de taxes.
Il fut donc décidé que la course irait de Brescia à Rome (pour flatter le régime fasciste)
Puis retour à Brescia pour un total de 1600 km.
La flatterie fut payante puisque l'objection du Sénateur Crespi
(Incidemment patron de l'Automobile Club de Milan)
Jugeant la course trop dangereuse fut ignorée.
L'avenir donnerait raison au Sénateur mais pas avant d'avoir écrit une page mythique du sport automobile.
Restait a trouver un nom: la légende l'attribue à Franco Mazzotti qui,
De retour d'un voyage aux Etats Unis,
Convertit les 1600 km du trajet en 1000 miles et proposa le nom de Mille Miglia Cup,
Ce qui fut accepté au prétexte que les Romains aussi mesuraient les distances en miles.
La première course tenue en 1927 attira 77 compétiteurs.
25000 soldats furent disposés le long des routes pour assurer la sécurité des spectateurs.
Les 1628 kilomètres de l'épreuve furent couvert à la vitesse moyenne de 77 km/h,
Déjà impressionnante pour l'époque. Il fut alors décidé, par Mussolini notamment,
Que l'évènement devait être répété et certains constructeurs commencèrent à développer
Des modèles spécifiques, comme Bugatti et sa Type 43.
Je ne reviendrai pas ici sur les 25 éditions que connut la course
Mais certains pilotes entrèrent bel et bien dans la légende par leurs exploits, tels Tazio Nuvolari
Qui aurait conduit tous feux éteints en 1930 pour cacher sa présence à son adversaire direct,
Achille Varzi, qui le précédait et remporter la course, ou Juan Manuel Fangio
Et sa folle chevauchée sous la pluie en 1956,
Sans oublier Giannino Marzotto qui remporta la victoire en 1950 habillé en costume cravate.
Parmi l'imagerie mythique de la course,
On notera également les numéros de course correspondant à l'heure de départ,
Peints directement à même la carrosserie des concurrents.
Aujourd'hui encore, de nombreuses Ferrari historiques
Arborent fièrement leur numéro de départ (535, 537, 600, 724 )
. Sans oublier la fameuse flèche rouge qui sert d'emblème à la course.
En 1938, l'accident d'une Lancia causa la mort de 10 spectateurs dont 7 enfants
et la course fut suspendue jusqu'en 1947. 1947
est évidemment une année mémorable puisqu'elle marqua l'engagement de Ferrari
pour la première fois, l'année de la création de la marque.
Le constructeur de Maranello allait régner sans partage sur la course
pendant 7 ans avant que Lancia (et Alberto Ascari) puis Mercedes (et Stirling Moss)
ne parviennent à mettre un terme à cette domination.
Ferrari gagna de nouveau en 1956 et lors de la dernière édition en 1957.
Après avoir culminé à 521 en 1955,
le nombre d'inscrit fut limité à 298 en 1957 et Piero Taruffi l'emporta à une vitesse moyenne de 152 km/h.
Rappelons tout de même qu'il s'agissait de couvrir 1600 km sans faire de pause,
sur des routes parfois en mauvais état et que le pilote était souvent seul pour conduire
pendant plus de 10 heures consécutives.
Ces éléments plutôt déraisonnables ne pouvaient que mener à des accidents
et c'est ce qui arriva quand à quarante kilomètres de l'arrivée,
un pneu de la Ferrari du Marquis Alfonso de Portago explosa:
la sortie de route coûta la vie à dix spectateurs
en plus de celle du pilote et de son copilote Edmund Gurner Nelson.
Après le terrible drame du Mans deux ans plus tôt,
le gouvernement Italien prit immédiatement la décision d'interdire la course.
PORTAGO. De son vrai nom
Alfonso Antonio Vicente Eduardo Ángel Blas Francisco
de Borja Cabeza de Vaca et Leighton,
13eme Marquis de Portago
12eme Comte de la Mejorada et grand d Espagne
Dit ( Alfonso de Portago) ou pour ces amis( Fon de Portago)
hommage à celui que le commendatore surnommait" l'aristocrate de la course"
une époque qui signifiait que monter dans une voiture de course était un risque
que tous ces gladiateurs des circuits acceptaient au risque d'y laisser leur vie ,
fon de portago était un personnage ! un vrai ! aristocrate ,
play-boy , joueur , épicurien
il était connu et apprécié par tous ses camarades
ainsi que par ses adversaires , enzo ferrari fut très meurtri par ce drame
Alfonso de Portago ne disputa que peu de courses, avec de belles performances tout de même.
Né à Londres, Alfonso est passé par les courses de chevaux, la natation et le bobsleigh,
avant finalement de se tourner vers la course automobile dès 1954,
presque exclusivement avec Ferrari.
Il fait une forte impression lors de sa première course de voitures de sport,
les 1000 km de Buenos Aires, où il termina 2ème avec Harry Schell,
une performance qu'il ne pourra réitérer dans la suite de l'année. Dès 1955,
il fait ses débuts en F1, disputant 5 courses hors championnat.
Une voiture peu fiable l'empêcha de faire mieux que 8ème à Pau.
La saison suivante, en 1956, Fon termine 3ème des 1000 km du Nürburgring.
Cette même saison, il court sa première course dans le championnat du monde de F1,
au GP de France. Lors de l'épreuve suivante en Grande-Bretagne,
il dut laisser sa voiture à Peter Collins, qui termina 2ème de la course derrière Fangio.
Alfonso se retrouve donc 2ème par défaut.
La suite de la saison ne lui offrira pas de grands moments,
si ce n'est en voitures de sport, une 3ème place en Suède. En 1957,
la saison commence plutôt bien,
Fon reprend à mi-course la voiture de Jose Froilan Gonzalez et termine 5ème en Argentine.
La semaine suivante, il termine 3ème des 100 km de Buenos Aires.
Lors des Mille Miglia, Alfonso de Portago est victime d'un accident
qui lui coûtera la vie, ainsi qu'à son coéquipier Edmund Nelson,
10 spectateurs, et l'épreuve elle-même qui ne sera plus courue.
............................................................................................................................................
LE MODEL ET DIORAMA
La vue de cette carcasse disloquée m'a de suite profondément interpellé
Et pourquoi, même, brisée cette Ferrari reste belle
Potago et sa 315 s..
Je me suis permis de rassembler les posts
Gerard GOERGEN
Alors là,tu t'es surpassé:c'est comme un truc que l'on fait quand on est inspiré par un évènement,
tu es étonné toi même après coup d'avoir réussi à faire ressortir une telle émotion.
Tu as l'impression que tu étais vraiment là à cette époque et du coup,tu sors un truc génial.
Gerard GOERGEN
Salut Thierry ,
un , tu as de l'idée , deux tu as beaucoup de talent , trois c'est
hallucinant le réalisme que tu as su représenté , le détail est exceptionnel
, un mot chapeau !!
Je pense que tu peux te faire une spécialité en fabriquant tes diorama et
les vendre ( à bon prix ) , car ils sont magnifiques , encore bravo .
Amicalement ,
Philippe
(Just stunning! You ARE nuttier than I am!! HA!!)
Dennis
"Juste magnifique ! Tu es meilleur casseur que je ne le suis !! Ha "
bravo cobos ! par ton fabuleux travail tu rend aussi un bel hommage
à celui que le commendatore surnommait" l'aristocrate de la course"
une époque qui signifiait que monter dans une voiture de course
était un risque que tous ces gladiateurs des circuits acceptaient
au risque d'y laisser leur vie , fon de portago était un personnage
! un vrai ! aristocrate , play-boy , joueur , épicurien ,
il était connu et appréciés par tous ses camarades ainsi que ses adversaires ,
enzo ferrari fut très meurtri par ce drame et j'imagine qu' a travers ta réalisation toi aussi
P..... Cobos, je te filerai jamais les clefs de ma voiture !
TRAVAIL EXCEPTIONNEL, JE SUIS ADMIRATIF Tu m'en fais une quand tu veux...
Le plissé de la carrosserie est renversant
Jaroslav
excalibure159951
hallucinantes de realismes toutes tes realisations felicitation continues !!!!!!!
Jaroslav
It´s an absolutly true ...
dbo
Je suis sur le cul, c'est hallucinant ce que tu réussis à faire.
Il ne suffit pas d'avoir les idées, de bien choisir le modèle, l'histoire à raconter, il faut du talent.
Respect
john.d
A ce niveau c'est de L'ART !!
Et encore j n’ai pas forcé car elle est plus trasch que ça en réalité (plus
Jaroslav
The transparent film at your diorama evokes the water. It looks totally transparently and it´s superb. Please, what is it the matieral? And destroyed model - it is a separated category ...
Sharknose a écrit:
Bon quand je parlais de mon envie de voir un jour une 315S chez CMC c'était afin d'en exposer une à coté de mes autres Ferrari de cette époque mais là, c'est loupé
la pauvre a vraiment morflée, c'est triste de finir ainsi snif!!
Beau travail
ok Jaroslav, the water is made by resine cristal EPOXY
and the body s car with plastic thermoform
the (chassis) with recuperation parts
je commençais a le penser, maintenant j'en suis sur... t'es completement malade
superbe realisation cobos, je suis absolument scié par le realisme !!! magnifique hommage que tu fais la, et merci pour la petite histoire
Quel dio sublime, je suis encore une fois sur le c.. devant ton savoir-faire exceptionnel, chapeau l'artiste!!
Je suis bouche bée ! Je ne sais plus quoi dire !! Non seulement un historique passionnant et une mise en scène époustoufante ! Sans compter le boulot que cela a dû représenter ..... l'artiste !!
et total respect !
Oh my God !!!
Ce que tu nous as montré précédemment était plus que fort, mais là ... là ...
j'ai pas de termes appropriés tellement c'est impressionnant !! Bravo Cobos
dbo
fiorano a écrit:
bravo cobos ! par ton fabuleux travail tu rend aussi un bel hommage
à celui que le commendatore surnommait" l'aristocrate de la course"
une époque qui signifiait que monter dans une voiture de course
était un risque que tous ces gladiateurs des circuits acceptaient au risque d'y laisser leur vie
fon de portago était un personnage ! un vrai ! aristocrate , play-boy ,
joueur , épicurien ,il était connu et appréciés par tous ses camarades
ainsi que ses adversaires , enzo ferrari fut très meurtri
par ce drame et j'imagine qu' a travers ta réalisation toi aussi
.........................................................................................................................................
DESSOUS DES CARTES
MAKING OF
FERRARIS 315 S AVANT LE CRASH
FERRARI 315 S . Portago.Nelson. M. Miglia.1957 base CMC 1/18
http://www.ferrari-modelisme.com/forum/ ... 980#226980 LIEN
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Antoine a écrit:
C'est une réalisation extraordinaire. Je dis bien "extra"-ordinaire, en dehors de tout ce que j'ai pu admirer jusqu'à présent.
C'est vrai que la carcasse de la voiture interpelle. Il y a un âme encore vivante dans cette amas de tôle. Du César, oui mais quelque chose de lier à un évènement, à une Tragédie, c'est ce qui rend cette histoire plus belle...
Et puis, ce rendu à l'échelle, Cobos, alors là ! Je suis sur le postérieur !
Unique, c'est la plus belle des CMC !
Désormais j'en suis certain, mes derniers doutent sont partis !
Tu fais partie des Grands Hommes de la Miniature !
C'est vrai que la carcasse de la voiture interpelle. Il y a un âme encore vivante dans cette amas de tôle. Du César, oui mais quelque chose de lier à un évènement, à une Tragédie, c'est ce qui rend cette histoire plus belle...
Et puis, ce rendu à l'échelle, Cobos, alors là ! Je suis sur le postérieur !
Unique, c'est la plus belle des CMC !
Désormais j'en suis certain, mes derniers doutent sont partis !
Tu fais partie des Grands Hommes de la Miniature !
accro7 a écrit:
Merci Thierry pour ce fabuleux travail que tu nous fait une fois de plus partager de manière grandiose
C'est fou d'imaginer aujourd'hui le sacrifice de tant d'hommes...
J'ai l'impression de voir un champ de bataille, à une époque ou l'on parlait de combat, de valeur...
Tu nous parles à travers ta création d'une époque bien révolue, de guerre entre hommes,qui s'appréciaient et se respectaient et marques...
J'admire ton "jusqu'au-boutisme" dans le travail, le détail...
Tu rends pleinement hommage à ces hommes, eux aussi jusqu'au-boutistes, qui ne concevaient la vie qu'à 200 km/h, peu importe le lendemain, puisse le jour présent être vécu à fond...
Merci Thierry de faire revivre avec tant de réalisme, le souvenir de ces combattants, de ces seigneurs, de ces hommes fous, qui étaient des héros nationaux pour une population qui a l'époque en avait bien besoin, à la sortie d'une autre guerre
Bravo, tu nous prouves une fois de plus tes grands talents d'artiste, et bonne continuation pour la suite
C'est fou d'imaginer aujourd'hui le sacrifice de tant d'hommes...
J'ai l'impression de voir un champ de bataille, à une époque ou l'on parlait de combat, de valeur...
Tu nous parles à travers ta création d'une époque bien révolue, de guerre entre hommes,qui s'appréciaient et se respectaient et marques...
J'admire ton "jusqu'au-boutisme" dans le travail, le détail...
Tu rends pleinement hommage à ces hommes, eux aussi jusqu'au-boutistes, qui ne concevaient la vie qu'à 200 km/h, peu importe le lendemain, puisse le jour présent être vécu à fond...
Merci Thierry de faire revivre avec tant de réalisme, le souvenir de ces combattants, de ces seigneurs, de ces hommes fous, qui étaient des héros nationaux pour une population qui a l'époque en avait bien besoin, à la sortie d'une autre guerre
Bravo, tu nous prouves une fois de plus tes grands talents d'artiste, et bonne continuation pour la suite