Rolex Comex… 1220 m valve hélium
L'entreprise a été créée à Marseille en 1962 par Henri Germain Delauze. Elle devient la première société mondiale d'ingénierie, de technologie et d'interventions humaines ou robotisées sous-marines. Dès 1964, COMEX lance la construction de son premier Centre d'Essais Hyperbare et en 1968 elle met en place sur son site à Marseille un ensemble hyperbare 300 mètres et un grand ensemble modulaire de saturation pour des études physiologiques qui sera adapté à la plongée en saturation sous hydrogène jusqu'à 800 mètres. En 50 ans, COMEX conduira plus de 5300 opérations avec plus de 1000 plongeurs, dont près de 2700 plongées expérimentales humaines et plus de 400 plongées animales.
Elle tient les plongées record en mer -534 mètres de profondeur (HYDRA 8, 1988) et en caisson à -701 mètres (HYDRA 10, 1992).
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Avec son air de scaphandre futuriste, il va permettre de mieux explorer les fonds marins. L’Exosuit, développé par le Muséum américain d‘histoire naturelle, est un impressionnant appareil de plongée de deux mètres de haut et 240 kilos. Il permet à une personne de descendre jusqu’à 300 mètres de profondeur. Le premier test en pleine mer aura lieu en juillet. L’Exosuit a pour but de faire le compromis entre l’équipement de plongée classique et les petits submersibles. La plongée en bouteille laisse le plongeur très libre de ses mouvements, mais elle est limitée en termes de profondeur. L’Exosuit contourne les problèmes liés au froid et à la pression de l’eau par son armure rigide et étanche. Un engin étonnamment mobile Tout en alliage d’aluminium, l’armure dispose de 18 joints rotatifs qui lui assurent une relative souplesse, ainsi que des propulseurs à eau de 1,6 cheval-vapeur de puissance. Elle allie ainsi mobilité et résistance aux profondeurs. "L’Exosuit permet à la forme humaine de s’insérer d’une manière particulière dans l’environnement, explique au Scientific American Michael Lombardi, qui pilotera l’engin lors du premier essai. Le dioxyde de carbone est enlevé chimiquement et le ravitaillement en oxygène se fait selon le métabolisme du plongeur, au travail comme au repos". Avec un maximum de 50 heures de survie possibles, les possibilités d’exploration seront sans aucun doute décuplées. L’atmosphère gardée à pression normale permet aussi d’éviter de travailler sur les mélanges complexes de gaz qui sont nécessaires dans les bouteilles des plongeurs des profondeurs. En quête de protéines fluorescentes Parmi toutes les possibilités offertes par l’Exosuit, les chercheurs ont déjà un objectif particulier en tête : l’étude de la protéine fluorescente verte. Présente dans la méduse Aequorea victoria, cette protéine possède un gène qui est utilisé comme marqueur dans l’étude d’autres protéines. Osamu Shimomura, Martin Chalfie et Roger Tsien ont obtenu le prix Nobel de chimie 2008 pour leurs travaux sur ce sujet. Grâce à l'Exosuit, le plongeur pourra également essayer de découvrir d’autres espèces luminescentes, qui fourniront peut-être d’autres protéines aussi utiles. Lors de cette plongée de nuit, Michael Lombardi sera en effet profondément sous l’eau au moment où les créatures des profondeurs remontent plus près de la surface à la faveur de l’obscurité.
Le scaphandre rigide est à la pression atmosphérique… donc pas de pallier …
http://www.maxisciences.com/plong%E9e/l ... 32109.html