Première d'une grande lignée!
Re: Première d'une grande lignée!
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Scuderia57
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Dark a écrit:
Top de chez gun
Merci pour tes commentaires Dark!
WORLD IN RED!
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Scuderia57
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1969 365 GTS-4 Spider Techno Giody (Look Miami-Vice) (Intérieur et Moteur entièrement repeints, roues changée pour des Borrani Bburago, ajout rétro, fils de bougies)
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1969 312 P (Barchetta et Berlinetta)
Elle sera la dernière Sport-prototype de l’âge d’or dotée d’un moteur V12, car après commence l’ère des boxers. Bien qu’elle ne soit jamais parvenue à remporter le titre mondial, elle lutta contre les très puissantes Porsche 917 au cours de l’année 1969.
L’histoire commence à la fin de l’année 1967. Malgré le succès de la P4, Ferrari se retrouve sans voiture du jour au lendemain, car le règlement à été soudainement modifié. Enzo Ferrari décide donc de retirer son écurie du championnat des Constructeurs, mais le 14 décembre 1968, la nouvelle 312 P est présentée à la presse à l’Hôtel Real Fini de Modène.
La voiture dérive de plusieurs modèles Ferrari : le châssis a été emprunté à la 612 Can-Am. Il s’agit d’une structure tubulaire classique rigidifiée par des panneaux en aluminium rivetés et par le moteur placé à l’arrière. Le moteur lui-même n’est pas une nouveauté. En effet, il s’agit du V12 de la 312F1 équipé d’une distribution avec double arbre à cames en tête et quatre soupapes par cylindre, d’une alimentation à injection électronique Marelli Dinoplex.
L’élaboration de la première 312 P (châssis 0868) à été longue et difficile et n’a pu être achevée à temps pour permettre à la voiture de s’aligner aux 24 Heures de Daytona.
La voiture est présente aux 12 Heures de Sebring avec au Volant Chris Amon et Mario Andretti. Aux essais, la 312 P obtient le meilleur temps, mais durant la course un accident ralentit les pilotes qui devront se contenter de la deuxième place.
A Brands Hatch, Chris Amon et Pédro Rodriguez doivent encore de contenter d’une quatrième place. Les 1000 Km de Monza ne se dérouleront pas sans péripéties : Mario Andretti s’exhibe dangereusement sur la piste mais le moteur ne parvient pas à suivre ses extravagances... Pendant ce temps là Pédro Rodriguez crève deux fois, endommageant sérieusement sa suspension arrière, avant d’aller percuter un muret à la sortie des stands.
Après avoir obtenu des résultats en dents de scie aux 1000 Km de Spa et au Nürburgring, la voiture se présente au Mans. Chez Ferrari, on pense que les Porsche seront moins agressives qu’à l’ordinaire, car elles ont déjà remporté le championnat. La marque italienne concentre donc ses efforts et présente une 312 P Berlinette dotée d’un petit toit parfaitement adapté à la voiture. Mais une fois encore, le succès n’est pas au rendez- vous : Amon percute au virage de la Maison Neuve la carc asse en flammes de la 917 de Woolfe et sort de la piste, tandis que Rodriguez et Piper voient leur progression entravée par une rupture de la boîte à vitesses à la quinzième heure.
Barchetta Châssis # 0870
1000km Nürburgring Amon/ Rodriguez abandon
FICHE TECHNIQUE
Moteur : arrière 12 cylindres en V, alésage X course = 77X53.5 m
Performances : Vitesse maxi 320 Km/h
Cylindrée : 2989 Cm3, rapport de compression 11 :1
Distribution : double arbre à cames en tête, 4 soupapes par cylindres
Alimentation : Injection indirecte Lucas
Allumage : simple
Puissance : 430 CH à 9800 tr/min
Châssis/Carrosserie : châssis tubulaire, carrosserie en aluminium
Transmission : aux roues arrières, boîte 5 vitesses + MA
Suspension : Avant : roues indépendantes par triangles superposés, combinés ressorts hélicoïdaux et amortisseurs télescopiques Koni, barre stabilisatrice
Arrière : roues indépendantes par triangle inversé, bras supérieur, deux barres de poussée longitudinales, combinés ressorts hélicoïdaux et amortisseurs télescopiques Koni, barre stabilisatrice
Voies : avant 1425 mm ; arrière 1400 mm
Direction : à crémaillère
Freins : disques sur les quatre roues
Roues : en alliage
Pneumatiques : Firestone avant 10.5’ ; arrière 13.5’
Dimensions/Poids : empattement 2.22 m/680 Kg
Exemplaires fabriqués : 3
Numéros de châssis : 0868,0870,0872
RESULTATS DE LA 312 P
1969
Châssis 0868, le 22 mars pour la Scuderia Ferrari, 2ème aux 12 h de Sebring: Mario Andretti & Chris Amon (n°25)
Châssis 0870, le 29 mars pour la Scuderia Ferrari, jour d'essais aux Mans: Chris Amon & Ernesto Brambilla (n°18)
Châssis 0868, le 13 avril pour la Scuderia Ferrari, 4ème aux 500 miles de Brands Hatch: Chris Amon & Pedro Rodriguez (n°60)
Châssis 0868, le 25 avril pour la Scuderia Ferrari, abandon aux 1000 km de Monza: Pedro Rodriguez & Peter Schetty(n°2)
Châssis 0870, le 25 avril pour la Scuderia Ferrari, abandon aux 1000 km de Monza: Mario Andretti & Chris Amon (n°1)
Châssis 0870, le 10 mai pour la Scuderia Ferrari, 2ème aux 1000 km de Spa-Francorchamps: David Piper & Pedro Rodriguez (n°8)
Châssis 0870, le 15 & 16 juin pour la Scuderia Ferrari, abandon aux 24h du Mans: Pedro Rodriguez & David Piper (n°18)
Châssis 0872, le 15 & 16 juin pour la Scuderia Ferrari, abandon aux 24h du Mans: Chris Amon & Peter Schetty (n°19)
Châssis 0870, le 14 septembre pour le N.A.R.T., 5ème à Bridgehampton:Pedro Rodriguez (n°12)
1970
Châssis 0870, le 31 janvier pour le N.A.R.T., 5ème aux 24h de Daytona: David Piper & Tony Adamowicz (n°23)
Châssis 0872, le 31 janvier pour le N.A.R.T., 4ème aux 24h de Daytona: M. Parkes & Sam Posey (n°24)
Châssis 0870, le 21 mars pour le N.A.R.T., abandon aux 12h de Sebring: Luigi Chinetti jr. & Tony Adamowicz(n°23)
Châssis 0872, le 21 mars pour le N.A.R.T., 6ème aux 12h de Sebring: Mike Parkes & Chuck Parsons (n°22)
Châssis 0870, le 13 juin pour le N.A.R.T., abandon aux 24h du Mans: Sam Posey & François Migault(n°31)
Châssis 0872, le 13 juin pour le N.A.R.T., abandon aux 24h du Mans: Mike Parson & Tony Adamovicz (n°57)
1971
Châssis 0872, le 31 janvier pour le N.A.R.T., 5ème aux 24h de Daytona: Luigi Chinetti jr. & Garcia Veiga (N°21)
Châssis 0872, le 20 février pour le N.A.R.T., 8ème aux 12h de Sebring: Luigi Chinetti jr. & George Eaton (N°21)
Barchetta #0870
Berlinetta #0872 de nos jours
1969 312 P Berlinetta (CMC) # 1211
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512 S Coda Lunga North American Racing Team # 11 Le Mans (1970)
Pilotes : Sam Posey (USA)/ Ronnie Bucknum (USA)
Châssis # 1014
Essais : 13 e
Course : 4e
313 tours - 4209.600 km - 175.400 km/h
RONNIE BUCKNUM/ SAM POSEY
La naissance de la 512 S est l’une des meilleures preuves du talent de stratège d’Enzo Ferrari. Tout a commencé avec les nouvelles réglementations imposées par la Commission
Sportive internationale (CSI), suite aux 24 Heures du Mans 1967.
Les performances des voitures de la catégorie sport-prototypes sont devenues trop élevées. Pour endiguer l’escalade de la puissance, la CSI décide de créer une nouvelle catégorie,
les « prototypes », dont la cylindrée est limitée à 3.1 L. Un seul exemplaire suffit pour être homologué. Les modèles plus puissants dotés d’un moteur 5 L, doivent être fabriqués à
50 exemplaires au minimum ! Aucune marque engagée jusqu’à lors ne peut satisfaire à une telle exigence : Ford, Chapparal, Lola, et Ferrari renoncent donc à disputer le championnat.
Enzo Ferrari décide, lui, de concentrer ses efforts sur la F1 et le championnat d’Europe de montagne. Il ne baisse pas les bras pour autant et continue de négocier avec les autorités
sportives. Après deux ans d’absence, les Ferrari reviennent dans le championnat du monde des Marques en 1970.
Les autorités sportives acceptent de réduire à 25 le nombre de châssis nécessaire pour l’homologation d’une sport. Gianni Agnelli, président de la FIAT, accepte alors de financer la réalisation
de la nouvelle Ferrari biplace, non pas de façon directe mais en acquérant 40 % de la firme de Maranello.
La nouvelle auto est baptisée 512 S et est destinée à remplacer la 330 P4. Sa fabrication commence à la fin du mois de juin 1969. Son châssis, qui s’avère simple à fabriquer en série (25 ex)
est revêtu d’une carrosserie en polyester. Quant à l’avant il est équipé de 2 phares rectangulaires, entourés de 2 prises d’air trapézoïdales qui sont destinés au refroidissement des freins.
Le nouveau moteur est de type 261 C en alliage léger est semblable à celui de la 612 Can- Am, mais de cylindrée réduite à 4993.53 cm3. Il affiche une puissance de 580 CH à 8500 Tr/Mn.
L’alimentation à injection indirecte Lucas est équipée d’une came mobile qui permet, grâce à une commande actionnée directement de l’habitacle, d’appauvrir le mélange air/essence dans
la limite de 5 combinaisons différentes.
Il ne faut que 90 jours pour fabriquer le 1er ex de la 512 S (Châssis # 1002). Dès le 6 novembre 1969, la voiture est officieusement présentée au restaurant « Gatto Verde » près de Maranello.
Le 20 janvier 1970, les commissaires de la CSI sont invités à Maranello : devant l’usine les attendent les 25 512 S nécessaires pour obtenir l’homologation. 24 d’entre elles sont rouges, avec le
couvercle de la roue de secours et la lunette arrière blancs ; la dernière est destinée à l’écurie espagnole Escuderia Montjuich, est jaune.
Accusant un retard de presque 8 mois sur sa rivale la Porsche 917, la 512 S fait sa première apparition fin janvier en Floride aux 24 Heures de Daytona : Andretti part en pôle position. En première
ligne la 512 S d’Andretti/Merzario côtoie la 917 de Siffert/Redman, sur la 2ième ligne 2 autres 917, en 3ième position la 512 S de Ickx/Schetty et celle de Gurney/Parson (dont on a modifié le toit
afin d’assurer une meilleure position à Dan Gurney. Pendant la course, les 512 S sont victimes d’ennuis mécaniques ; seule la 512 S d’Andretti parvient à terminer à la 3ième place. Le résultat
obtenu est plus que satisfaisant, l’épreuve permettant de mettre en évidence certains problèmes, notamment la nécessité de ravitaillements fréquents, engendrés par une consommation élevée
des 512 S trop massives. Ickx doit ainsi ravitailler au bout seulement d’1/2 heure de course !
Le 21 mars à Sebring, les 512 S sont en excellente forme, après une cure d’amaigrissement de 50 Kg, et une mise point de leur moteur permettant de réduire sa consommation tout en augmentant
sa puissance à 585 CH. Giunti/Vaccarella/Andretti s’imposent à la 1ère place.
La 512 S s’exprime également dans les compétitions routières, comme la Targa Florio de 1970 où Nino Vaccarella obtient une bonne 3ième place juste derrière les Porsche 908. Après une remontée,
théoriquement impossible sur les routes étroites du circuit des Madonie.
La « coda lunga » débarque au Mans. Ferrari doit gagner Le Mans pour sauver sa saison et de gros efforts sont faits pour cela. Des essais de vitesse ont été effectués sur une portion de la nouvelle
autoroute qui relie Turin à Piacenza. Shetty-Merzario se sont relayés au volant d’une « coda longa » et en dépit d’un revêtement assez bosselé, Arturo Merzario frôle les 345 Km/h. La longue queue
équipera donc les 4 voitures d’usine ainsi que quatre 512 S privées : celle du NART, celle de l’écurie de Francorchamps, et celles de la Scuderia Filipinetti.
Les essais vont pleinement rassurer Mauro Forghieri et Franco Gozzi (directeur sportif) sur les chances de victoire. Nino Vaccarella signe le meilleur temps de la première séance en 3’20 ‘’. Forghieri
rappelle à l’ordre son pilote lorsqu’il rentre aux stands. Mais Vaccarella lui affirme qu’il n’a pas eu à forcer pour obtenir ce temps. L’ingénieur est aux anges, car il ne s’attendait pas à un tel niveau
de performance.
C’est cependant la Porsche 917 de Vic Elford qui obtient la pôle position. La deuxième place est pour la 512 S du tandem Vaccarella/Giunti.
Les 4 Ferrari d’usine vont abandonner, la première est la # 6 de Vaccarella/Giunti au bout d’une 1 heure de course (moteur), suivent ensuite au bout de 4 heures de course la #7 de Bell/Peterson
(moteur) et la # 8 de Merzario/Regazzoni (accident), puis c’est le tour de la # 5 de Ickx/Chetty qui abandonne à la 11e heure à la suite d’un accident, le pilote belge est victime d’une violente sortie
e route au virage Ford fauchant mortellement au passage un commissaire de course, dû un problème technique selon Jacky Ickx. Ce qui provoquera un conflit interne entre le jeune pilote et son
directeur sportif. Indirectement, cet imbroglio coûtera sa place à Franco Gozzi. Finalement, les 2 seules 512 S qui termineront classées sont celles des écuries privées avec la 4e place de la # 11
(Châssis 1014) de l’Ecurie américaine du NART de Sam Posey et Ronnie Bucknum qui bouclera l’édition de 1970 en 313 tours, 4209.600 Km à une vitesse moyenne de 175,400 km/h. La seconde
est la # 12 (châssis 1030) de la célébrissime Ecurie Francorchamps avec son duo, Hugues de Fierlandt et Alistair Walker qui terminera à la 5e place, avec 305 tours, 4103,520 Km à une vitesse
moyenne de 170,980 km/h.
La 512 S terminera la saison avec une victoire en Afrique de Sud aux 8 heures de Kyalami avec la paire Ickx/Giunti.
FICHE TECHNIQUE
Moteur : à l’arrière ; position longitudinale ; 12 cylindres en V à 60° ; alésage x course = 87 x 70 mm ; cylindrée 4993.53 cm3 ; taux de compression 11,8 :1
Distribution : double arbre à cames en tête, 4 soupapes par cylindre
Alimentation : Injection directe Lucas et allumage Magneti Marelli Dinoplex
Puissance : 580 ch à 8500 tr/mn puis 585 ch
Châssis/carrosserie : Berlinette/spider 2 places ; châssis tubulaire ; carrosserie aluminium et polyester souple
Transmission : aux roues arrière ; boîte de vitesses 5 rapports + marche arrière
Suspensions : roues indépendantes Koni
Pneumatiques : av 425/1020 x 15 ; ar 600/1450 x 15
Roues : 15’’ Campagnolo
Freins : disques ventilés Girling
Dimension : 4,06 x 2 x 0.97 m ; voie avant 1,518 m ; voie arrière 1,511
Poids : Berlinette 868 Kg ; spider 862 kg
Exemplaires produits : 25 entre 1969 et 1970
Numéros de châssis : de 1002 à 1050 (nombre pairs exclusivement)
#1014 sur le transporteur Lancia, accompagnée de deux 312 P
En attente dans le paddock du Mans
La 512 S de Posey/Bucknum est amenée à son emplacement de départ.
Résumé de la course de la # 11 (châssis 1014)
Déjà vu à Daytona, le coupé NART est équipé d'un capot arrière long (coda lunga) mais a conservé l'avant d'origine, équipé de bavolets. Quant au bossage du cockpit, il est beaucoup plus
esthétique que celui de Daytona. Sam Posey est retardé dès la première heure par un pneu crevé et ne pointe qu'à la 15e place. Au cours des cinq premières heures, la #11 oscille entre la
13e et la 15e place, puis profite de nombreux abondons pour remonter 11e à la sixième heure. Ayant évité les ennuis au plus fort de l'orage, Posey/Bucknum perdent 3' à la septième heure
pour faire revoir leur circuit électrique malmené par la pluie, mais ils gagnent tout de même 2 places. Pointés 8e à minuit, ils gagnent 1 place à la 11e heure puis deviennent 6e à mi-course,
étant les mieux placés des Ferraristes, mais à 11 tours de la Porsche de tête. A la 18e heure, ils accèdent à la 4e place suite aux abondons de l'Alfa Romeo de Galli/Stommelen et de la Porsche
d'Edford-Ahens. Malgré un moteur ne tournant plus sur ses 12 cylindres, ils conservent cette place jusqu'au bout, terminant à 30 tours de la Porsche victorieuse.
1970 512 S Coda Lunga NART 24 h du Mans # 11 Sam Posey/Ronnie Bucknum Tecnomodel Mythos series #103/170
Premières photos avec échappements raccourcis, accompagnée de la version spider # 23
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1969 312 P (Barchetta et Berlinetta)
Elle sera la dernière Sport-prototype de l’âge d’or dotée d’un moteur V12, car après commence l’ère des boxers. Bien qu’elle ne soit jamais parvenue à remporter le titre mondial, elle lutta contre les très puissantes Porsche 917 au cours de l’année 1969.
L’histoire commence à la fin de l’année 1967. Malgré le succès de la P4, Ferrari se retrouve sans voiture du jour au lendemain, car le règlement à été soudainement modifié. Enzo Ferrari décide donc de retirer son écurie du championnat des Constructeurs, mais le 14 décembre 1968, la nouvelle 312 P est présentée à la presse à l’Hôtel Real Fini de Modène.
La voiture dérive de plusieurs modèles Ferrari : le châssis a été emprunté à la 612 Can-Am. Il s’agit d’une structure tubulaire classique rigidifiée par des panneaux en aluminium rivetés et par le moteur placé à l’arrière. Le moteur lui-même n’est pas une nouveauté. En effet, il s’agit du V12 de la 312F1 équipé d’une distribution avec double arbre à cames en tête et quatre soupapes par cylindre, d’une alimentation à injection électronique Marelli Dinoplex.
L’élaboration de la première 312 P (châssis 0868) à été longue et difficile et n’a pu être achevée à temps pour permettre à la voiture de s’aligner aux 24 Heures de Daytona.
La voiture est présente aux 12 Heures de Sebring avec au Volant Chris Amon et Mario Andretti. Aux essais, la 312 P obtient le meilleur temps, mais durant la course un accident ralentit les pilotes qui devront se contenter de la deuxième place.
A Brands Hatch, Chris Amon et Pédro Rodriguez doivent encore de contenter d’une quatrième place. Les 1000 Km de Monza ne se dérouleront pas sans péripéties : Mario Andretti s’exhibe dangereusement sur la piste mais le moteur ne parvient pas à suivre ses extravagances... Pendant ce temps là Pédro Rodriguez crève deux fois, endommageant sérieusement sa suspension arrière, avant d’aller percuter un muret à la sortie des stands.
Après avoir obtenu des résultats en dents de scie aux 1000 Km de Spa et au Nürburgring, la voiture se présente au Mans. Chez Ferrari, on pense que les Porsche seront moins agressives qu’à l’ordinaire, car elles ont déjà remporté le championnat. La marque italienne concentre donc ses efforts et présente une 312 P Berlinette dotée d’un petit toit parfaitement adapté à la voiture. Mais une fois encore, le succès n’est pas au rendez- vous : Amon percute au virage de la Maison Neuve la carc asse en flammes de la 917 de Woolfe et sort de la piste, tandis que Rodriguez et Piper voient leur progression entravée par une rupture de la boîte à vitesses à la quinzième heure.
Barchetta Châssis # 0870
1000km Nürburgring Amon/ Rodriguez abandon
FICHE TECHNIQUE
Moteur : arrière 12 cylindres en V, alésage X course = 77X53.5 m
Performances : Vitesse maxi 320 Km/h
Cylindrée : 2989 Cm3, rapport de compression 11 :1
Distribution : double arbre à cames en tête, 4 soupapes par cylindres
Alimentation : Injection indirecte Lucas
Allumage : simple
Puissance : 430 CH à 9800 tr/min
Châssis/Carrosserie : châssis tubulaire, carrosserie en aluminium
Transmission : aux roues arrières, boîte 5 vitesses + MA
Suspension : Avant : roues indépendantes par triangles superposés, combinés ressorts hélicoïdaux et amortisseurs télescopiques Koni, barre stabilisatrice
Arrière : roues indépendantes par triangle inversé, bras supérieur, deux barres de poussée longitudinales, combinés ressorts hélicoïdaux et amortisseurs télescopiques Koni, barre stabilisatrice
Voies : avant 1425 mm ; arrière 1400 mm
Direction : à crémaillère
Freins : disques sur les quatre roues
Roues : en alliage
Pneumatiques : Firestone avant 10.5’ ; arrière 13.5’
Dimensions/Poids : empattement 2.22 m/680 Kg
Exemplaires fabriqués : 3
Numéros de châssis : 0868,0870,0872
RESULTATS DE LA 312 P
1969
Châssis 0868, le 22 mars pour la Scuderia Ferrari, 2ème aux 12 h de Sebring: Mario Andretti & Chris Amon (n°25)
Châssis 0870, le 29 mars pour la Scuderia Ferrari, jour d'essais aux Mans: Chris Amon & Ernesto Brambilla (n°18)
Châssis 0868, le 13 avril pour la Scuderia Ferrari, 4ème aux 500 miles de Brands Hatch: Chris Amon & Pedro Rodriguez (n°60)
Châssis 0868, le 25 avril pour la Scuderia Ferrari, abandon aux 1000 km de Monza: Pedro Rodriguez & Peter Schetty(n°2)
Châssis 0870, le 25 avril pour la Scuderia Ferrari, abandon aux 1000 km de Monza: Mario Andretti & Chris Amon (n°1)
Châssis 0870, le 10 mai pour la Scuderia Ferrari, 2ème aux 1000 km de Spa-Francorchamps: David Piper & Pedro Rodriguez (n°8)
Châssis 0870, le 15 & 16 juin pour la Scuderia Ferrari, abandon aux 24h du Mans: Pedro Rodriguez & David Piper (n°18)
Châssis 0872, le 15 & 16 juin pour la Scuderia Ferrari, abandon aux 24h du Mans: Chris Amon & Peter Schetty (n°19)
Châssis 0870, le 14 septembre pour le N.A.R.T., 5ème à Bridgehampton:Pedro Rodriguez (n°12)
1970
Châssis 0870, le 31 janvier pour le N.A.R.T., 5ème aux 24h de Daytona: David Piper & Tony Adamowicz (n°23)
Châssis 0872, le 31 janvier pour le N.A.R.T., 4ème aux 24h de Daytona: M. Parkes & Sam Posey (n°24)
Châssis 0870, le 21 mars pour le N.A.R.T., abandon aux 12h de Sebring: Luigi Chinetti jr. & Tony Adamowicz(n°23)
Châssis 0872, le 21 mars pour le N.A.R.T., 6ème aux 12h de Sebring: Mike Parkes & Chuck Parsons (n°22)
Châssis 0870, le 13 juin pour le N.A.R.T., abandon aux 24h du Mans: Sam Posey & François Migault(n°31)
Châssis 0872, le 13 juin pour le N.A.R.T., abandon aux 24h du Mans: Mike Parson & Tony Adamovicz (n°57)
1971
Châssis 0872, le 31 janvier pour le N.A.R.T., 5ème aux 24h de Daytona: Luigi Chinetti jr. & Garcia Veiga (N°21)
Châssis 0872, le 20 février pour le N.A.R.T., 8ème aux 12h de Sebring: Luigi Chinetti jr. & George Eaton (N°21)
Barchetta #0870
Berlinetta #0872 de nos jours
1969 312 P Berlinetta (CMC) # 1211
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512 S Coda Lunga North American Racing Team # 11 Le Mans (1970)
Pilotes : Sam Posey (USA)/ Ronnie Bucknum (USA)
Châssis # 1014
Essais : 13 e
Course : 4e
313 tours - 4209.600 km - 175.400 km/h
RONNIE BUCKNUM/ SAM POSEY
La naissance de la 512 S est l’une des meilleures preuves du talent de stratège d’Enzo Ferrari. Tout a commencé avec les nouvelles réglementations imposées par la Commission
Sportive internationale (CSI), suite aux 24 Heures du Mans 1967.
Les performances des voitures de la catégorie sport-prototypes sont devenues trop élevées. Pour endiguer l’escalade de la puissance, la CSI décide de créer une nouvelle catégorie,
les « prototypes », dont la cylindrée est limitée à 3.1 L. Un seul exemplaire suffit pour être homologué. Les modèles plus puissants dotés d’un moteur 5 L, doivent être fabriqués à
50 exemplaires au minimum ! Aucune marque engagée jusqu’à lors ne peut satisfaire à une telle exigence : Ford, Chapparal, Lola, et Ferrari renoncent donc à disputer le championnat.
Enzo Ferrari décide, lui, de concentrer ses efforts sur la F1 et le championnat d’Europe de montagne. Il ne baisse pas les bras pour autant et continue de négocier avec les autorités
sportives. Après deux ans d’absence, les Ferrari reviennent dans le championnat du monde des Marques en 1970.
Les autorités sportives acceptent de réduire à 25 le nombre de châssis nécessaire pour l’homologation d’une sport. Gianni Agnelli, président de la FIAT, accepte alors de financer la réalisation
de la nouvelle Ferrari biplace, non pas de façon directe mais en acquérant 40 % de la firme de Maranello.
La nouvelle auto est baptisée 512 S et est destinée à remplacer la 330 P4. Sa fabrication commence à la fin du mois de juin 1969. Son châssis, qui s’avère simple à fabriquer en série (25 ex)
est revêtu d’une carrosserie en polyester. Quant à l’avant il est équipé de 2 phares rectangulaires, entourés de 2 prises d’air trapézoïdales qui sont destinés au refroidissement des freins.
Le nouveau moteur est de type 261 C en alliage léger est semblable à celui de la 612 Can- Am, mais de cylindrée réduite à 4993.53 cm3. Il affiche une puissance de 580 CH à 8500 Tr/Mn.
L’alimentation à injection indirecte Lucas est équipée d’une came mobile qui permet, grâce à une commande actionnée directement de l’habitacle, d’appauvrir le mélange air/essence dans
la limite de 5 combinaisons différentes.
Il ne faut que 90 jours pour fabriquer le 1er ex de la 512 S (Châssis # 1002). Dès le 6 novembre 1969, la voiture est officieusement présentée au restaurant « Gatto Verde » près de Maranello.
Le 20 janvier 1970, les commissaires de la CSI sont invités à Maranello : devant l’usine les attendent les 25 512 S nécessaires pour obtenir l’homologation. 24 d’entre elles sont rouges, avec le
couvercle de la roue de secours et la lunette arrière blancs ; la dernière est destinée à l’écurie espagnole Escuderia Montjuich, est jaune.
Accusant un retard de presque 8 mois sur sa rivale la Porsche 917, la 512 S fait sa première apparition fin janvier en Floride aux 24 Heures de Daytona : Andretti part en pôle position. En première
ligne la 512 S d’Andretti/Merzario côtoie la 917 de Siffert/Redman, sur la 2ième ligne 2 autres 917, en 3ième position la 512 S de Ickx/Schetty et celle de Gurney/Parson (dont on a modifié le toit
afin d’assurer une meilleure position à Dan Gurney. Pendant la course, les 512 S sont victimes d’ennuis mécaniques ; seule la 512 S d’Andretti parvient à terminer à la 3ième place. Le résultat
obtenu est plus que satisfaisant, l’épreuve permettant de mettre en évidence certains problèmes, notamment la nécessité de ravitaillements fréquents, engendrés par une consommation élevée
des 512 S trop massives. Ickx doit ainsi ravitailler au bout seulement d’1/2 heure de course !
Le 21 mars à Sebring, les 512 S sont en excellente forme, après une cure d’amaigrissement de 50 Kg, et une mise point de leur moteur permettant de réduire sa consommation tout en augmentant
sa puissance à 585 CH. Giunti/Vaccarella/Andretti s’imposent à la 1ère place.
La 512 S s’exprime également dans les compétitions routières, comme la Targa Florio de 1970 où Nino Vaccarella obtient une bonne 3ième place juste derrière les Porsche 908. Après une remontée,
théoriquement impossible sur les routes étroites du circuit des Madonie.
La « coda lunga » débarque au Mans. Ferrari doit gagner Le Mans pour sauver sa saison et de gros efforts sont faits pour cela. Des essais de vitesse ont été effectués sur une portion de la nouvelle
autoroute qui relie Turin à Piacenza. Shetty-Merzario se sont relayés au volant d’une « coda longa » et en dépit d’un revêtement assez bosselé, Arturo Merzario frôle les 345 Km/h. La longue queue
équipera donc les 4 voitures d’usine ainsi que quatre 512 S privées : celle du NART, celle de l’écurie de Francorchamps, et celles de la Scuderia Filipinetti.
Les essais vont pleinement rassurer Mauro Forghieri et Franco Gozzi (directeur sportif) sur les chances de victoire. Nino Vaccarella signe le meilleur temps de la première séance en 3’20 ‘’. Forghieri
rappelle à l’ordre son pilote lorsqu’il rentre aux stands. Mais Vaccarella lui affirme qu’il n’a pas eu à forcer pour obtenir ce temps. L’ingénieur est aux anges, car il ne s’attendait pas à un tel niveau
de performance.
C’est cependant la Porsche 917 de Vic Elford qui obtient la pôle position. La deuxième place est pour la 512 S du tandem Vaccarella/Giunti.
Les 4 Ferrari d’usine vont abandonner, la première est la # 6 de Vaccarella/Giunti au bout d’une 1 heure de course (moteur), suivent ensuite au bout de 4 heures de course la #7 de Bell/Peterson
(moteur) et la # 8 de Merzario/Regazzoni (accident), puis c’est le tour de la # 5 de Ickx/Chetty qui abandonne à la 11e heure à la suite d’un accident, le pilote belge est victime d’une violente sortie
e route au virage Ford fauchant mortellement au passage un commissaire de course, dû un problème technique selon Jacky Ickx. Ce qui provoquera un conflit interne entre le jeune pilote et son
directeur sportif. Indirectement, cet imbroglio coûtera sa place à Franco Gozzi. Finalement, les 2 seules 512 S qui termineront classées sont celles des écuries privées avec la 4e place de la # 11
(Châssis 1014) de l’Ecurie américaine du NART de Sam Posey et Ronnie Bucknum qui bouclera l’édition de 1970 en 313 tours, 4209.600 Km à une vitesse moyenne de 175,400 km/h. La seconde
est la # 12 (châssis 1030) de la célébrissime Ecurie Francorchamps avec son duo, Hugues de Fierlandt et Alistair Walker qui terminera à la 5e place, avec 305 tours, 4103,520 Km à une vitesse
moyenne de 170,980 km/h.
La 512 S terminera la saison avec une victoire en Afrique de Sud aux 8 heures de Kyalami avec la paire Ickx/Giunti.
FICHE TECHNIQUE
Moteur : à l’arrière ; position longitudinale ; 12 cylindres en V à 60° ; alésage x course = 87 x 70 mm ; cylindrée 4993.53 cm3 ; taux de compression 11,8 :1
Distribution : double arbre à cames en tête, 4 soupapes par cylindre
Alimentation : Injection directe Lucas et allumage Magneti Marelli Dinoplex
Puissance : 580 ch à 8500 tr/mn puis 585 ch
Châssis/carrosserie : Berlinette/spider 2 places ; châssis tubulaire ; carrosserie aluminium et polyester souple
Transmission : aux roues arrière ; boîte de vitesses 5 rapports + marche arrière
Suspensions : roues indépendantes Koni
Pneumatiques : av 425/1020 x 15 ; ar 600/1450 x 15
Roues : 15’’ Campagnolo
Freins : disques ventilés Girling
Dimension : 4,06 x 2 x 0.97 m ; voie avant 1,518 m ; voie arrière 1,511
Poids : Berlinette 868 Kg ; spider 862 kg
Exemplaires produits : 25 entre 1969 et 1970
Numéros de châssis : de 1002 à 1050 (nombre pairs exclusivement)
#1014 sur le transporteur Lancia, accompagnée de deux 312 P
En attente dans le paddock du Mans
La 512 S de Posey/Bucknum est amenée à son emplacement de départ.
Résumé de la course de la # 11 (châssis 1014)
Déjà vu à Daytona, le coupé NART est équipé d'un capot arrière long (coda lunga) mais a conservé l'avant d'origine, équipé de bavolets. Quant au bossage du cockpit, il est beaucoup plus
esthétique que celui de Daytona. Sam Posey est retardé dès la première heure par un pneu crevé et ne pointe qu'à la 15e place. Au cours des cinq premières heures, la #11 oscille entre la
13e et la 15e place, puis profite de nombreux abondons pour remonter 11e à la sixième heure. Ayant évité les ennuis au plus fort de l'orage, Posey/Bucknum perdent 3' à la septième heure
pour faire revoir leur circuit électrique malmené par la pluie, mais ils gagnent tout de même 2 places. Pointés 8e à minuit, ils gagnent 1 place à la 11e heure puis deviennent 6e à mi-course,
étant les mieux placés des Ferraristes, mais à 11 tours de la Porsche de tête. A la 18e heure, ils accèdent à la 4e place suite aux abondons de l'Alfa Romeo de Galli/Stommelen et de la Porsche
d'Edford-Ahens. Malgré un moteur ne tournant plus sur ses 12 cylindres, ils conservent cette place jusqu'au bout, terminant à 30 tours de la Porsche victorieuse.
1970 512 S Coda Lunga NART 24 h du Mans # 11 Sam Posey/Ronnie Bucknum Tecnomodel Mythos series #103/170
Premières photos avec échappements raccourcis, accompagnée de la version spider # 23
Dernière édition par Scuderia57 le Dim 1 Avr 2018 20:07, édité 64 fois.
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Scuderia57
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1971 365 GTB-4 GR IV # 64 Kyosho (P.Newman/M.Minter/E.Forbes-Robinson)
Dernière édition par Scuderia57 le Dim 26 Avr 2020 21:12, édité 3 fois.
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Scuderia57
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1971 512 S # 23 Elite (Train av rabaissé, + scotch de protection phares av)
Dernière édition par Scuderia57 le Dim 26 Avr 2020 21:19, édité 3 fois.
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Dark
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Je trouve que ce modèle est un excellent rapport qualité prix....
J ai surbaissé les miennes pour plus de réalisme....
l'opération et fastidieuse ....mais le résultat est la ...
Présentation au top ...S57
J ai surbaissé les miennes pour plus de réalisme....
l'opération et fastidieuse ....mais le résultat est la ...
Présentation au top ...S57
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Scuderia57
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Dark a écrit:
Je trouve que ce modèle est un excellent rapport qualité prix....
J ai surbaissé les miennes pour plus de réalisme....
l'opération et fastidieuse ....mais le résultat est la ...
Présentation au top ...S57
J ai surbaissé les miennes pour plus de réalisme....
l'opération et fastidieuse ....mais le résultat est la ...
Présentation au top ...S57
C'est vrai que c'est un beau modèle, dommage qu'Hotwheels a la fâcheuse manie de surélévér quelques uns de ses modèles, toutefois, on va pas se plaindre, ça nous permet d'y ajouter notre touche personnelle
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Scuderia57
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1972 312 PB #2 ICKX/REGAZZONI (Classico Shell)
Miniature très grossière à la base, mais avec un peu de travail elle ressemble un peu plus à quelque chose
Miniature très grossière à la base, mais avec un peu de travail elle ressemble un peu plus à quelque chose
Dernière édition par Scuderia57 le Dim 26 Avr 2020 21:21, édité 1 fois.
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Scuderia57
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Dark a écrit:
I like
Thanks
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Scuderia57
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1972 312 PB (gmp) #1 ICKX/REGAZZONI 24 Heures Monza 1000 Km
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Scuderia57
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1972 Dino 246 GTS Hotwheels (Intérieur repeint, ajout moquette, rétro, pare-soleil, détails peinture, jus noir sur roues)
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Dark a écrit:
I prefer ...
Je sais pas mais moi aussi
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Scuderia57
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1976 308 GTB Kyosho
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312 T2 (1976)
1976 : naissance de la voiture qui pendant 2 ans sera le cheval de bataille de Maranello. Elle remportera 2 titres Constructeurs, et le titre Pilotes avec Niki Lauda en 1977. Elle est la descendante de la 312 T qui remporta le championnat en 1975 avec l’autrichien pour pilote.
La Ferrari 312 T2 représente l’évolution logique, compte même des nouveaux règlements, de la voiture qui permit à Lauda de remporter le Championnat du monde de 1975 (la 312 T). La 312 T2 sera présente sur les circuits en 1976 et 1977, et seule la malchance interdira à Ferrari de remporter le titre des Pilotes en 1976, elle remportera malgré tout celui des constructeurs. C’est partie remise, car en 1977 Lauda remporte le titre qui lui était promis en 76 ainsi qu’un nouveau titre des constructeurs.
La disparition des grandes prises d’air placées au dessus de la tête des pilotes, modifie l’aspect de la 312 T2 par rapport à sa devancière la 312 T. La nouvelle version est facilement reconnaissable grâce à ses grandes prises d’air désormais placées devant et sur les côtés de l’habitacle.
La 312 T était un peu brutale dans son comportement, notamment dans les virages. C’est pourquoi Ferrari décida de rallonger légèrement l’empattement de la nouvelle voiture et d’en réduire les voies. A titre expérimental, Mauro Forghieri (concepteur de la 312 T2 avec Rochi et Salvarani) installa une suspension de type de Dion. Utilisée sur le premier prototype ce type de suspension ne sera jamais adopté en course. La coque de la 312 T2 était plus légère que celle de la 312 T, grâce à une structure intérieure en aluminium en remplacement de l’acier. Le poids des deux monoplaces est officiellement semblable, à la limite du minimum imposé par le règlement (575kg). Mais le 312 T2 est en réalité plus légère de 20 Kg.
Comme la 312 T, la 312 T2 est conçue pour que tous les poids non suspendus se trouvent entre les axes de roues avant/arrière. C’est pou cela qu’elle possède le même type de boîte de vitesse transversale à 5 rapports. La puissance du moteur quand à elle augmente de 5 Ch, pour atteindre la limite des 500 Ch autorisés à 12200 t/mn.
Le Championnat 1976 débute sous d’excellents auspices pour Ferrari, qui participe au 3 premiers grands prix avec l’ancienne monoplace la 312 T. Lauda triomphe au Brésil à Interlagos et en Afrique du Sud à Kyalami, tandis que Clay Regazzoni remporte le grand prix des Etats Unis Ouest à Long Beach devant son coéquipier. La 312 T2 fait ses débuts à, la course des Champions (hors Championnat) le 14 mars 1976 à Brands Hatch. Lauda se retire en raison d’une panne de freins. L’autrichien se placera 2ième au grand prix d’Espagne à Jarama, derrière un certain James Hunt momentanément disqualifié à cause de la trop grande largeur de sa monoplace. L’Anglais sera réintégré et sa victoire confirmée. La 312 T2 remporte sa première victoire à Zolder en Belgique avec Niki Lauda juste devant Regazzoni.
A Monaco Niki Lauda remporte une nouvelle victoire, après une course qu’il mena du début à la fin.
Niki Lauda victorieux à Monaco, en présence du couple princier.
James Hunt simulant le vol de la 312T2 de Niki Lauda (GP de Monaco), l'arme absolue pour la saison 76.
En Suède, à Anderstorp il se classe 3e derrière les fameuses Tyrrell à 6 roues de Scheckter et Depailler, tandis que Regazzoni termine 6e. Au GP de France au Castellet les Ferrari mènent mais doivent abandonner suite à des problèmes moteur. Mais Niki Lauda renoue avec la victoire à Brands Hatch au GP d’Angleterre après la disqualification de son rival James Hunt. Arrive le GP d’Allemagne au Nürburgring alors qu’il est en tête de la course il se blesse grièvement. Ferrari décide alors de ne pas participer au prochain GP d’Autriche à Zeltweg. Regazzoni reprend seul le chemin des grands prix, il se classe 2e derrière Hunt. En vue du grand prix d’Italie Ferrari engage l’argentin Carlos Reutemann alors pilote de l’écurie Brabham, mais Lauda ne l’entend pas ainsi, il récupère sa place et se classe 4e à Monza, six semaines à peine après son terrible accident. Regazzoni lui termine 2e, tandis que Reutemann termine seulement 9e. Lors des GP du Canada (Mosport) et des Etats Unis (Watkins Glen), disputés dans des conditions climatiques difficiles, la 312 T2 accuse quelques problèmes de tenue de route en raison d’un échauffement insuffisant des pneus arrière. Au Canada, Regazzoni n’est que sixième (Hunt étant vainqueur) Lauda sauve la face en terminant à la troisième place. Lors du dernier GP de la saison au Japon à Fuji, Lauda décide d’abandonner, course jugée dangereuse sous une pluie battante. Hunt termine 3e et s’adjuge in extremis le titre mondial. L’Autrichien ratant le titre d’un seul petit point. Regazzoni quand à lui termine à la 5e place , ce sera sa dernière course chez Ferrari.
La tragique fin de saison du Championnat du monde de F1 de 76 inspirera Ron Howard qui portera sur le grand écran RUSH, la rivalité entre deux grands champions l'anglais James Hunt et l'autrichien Niki Lauda.
Les résultats de la 312T2 1976 :
GP d’Espagne, 2 mai 2e Lauda, 11e Regazzoni
GP de Belgique, 16 mai 1er Lauda, 2e Regazzoni
GP de Monaco, 30 mai 1er Lauda, 14e Regazzoni
GP de Suède, 13 juin 3e Lauda, 6e Regazzoni
GP de Grande Bretagne 18 juillet 1er Lauda, Ab Regazzoni
GP des Pays Bas, 29 Août 2e Regazzoni
GP d’Italie 12 septembre 2e Regazzoni, Lauda 4e, 6e Reutemann
GP du Canada, 3 octobre 6e Regazzoni, 8e Lauda
GP des Etats Unis, 10 octobre 3e Lauda, 7e Regazzoni
GP du Japon, 24 octobre 5e Regazzoni, Lauda Ab
1976 - 312 T2 Niki Lauda (ELITE) GP de Monaco
Ma version après quelques légères transformations.
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1977 512 BB LM (BBR) # 2001/2010 Press Version
Premiers shooting de la bête! avec une météo plutôt clémente
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312 T2 (1976)
1976 : naissance de la voiture qui pendant 2 ans sera le cheval de bataille de Maranello. Elle remportera 2 titres Constructeurs, et le titre Pilotes avec Niki Lauda en 1977. Elle est la descendante de la 312 T qui remporta le championnat en 1975 avec l’autrichien pour pilote.
La Ferrari 312 T2 représente l’évolution logique, compte même des nouveaux règlements, de la voiture qui permit à Lauda de remporter le Championnat du monde de 1975 (la 312 T). La 312 T2 sera présente sur les circuits en 1976 et 1977, et seule la malchance interdira à Ferrari de remporter le titre des Pilotes en 1976, elle remportera malgré tout celui des constructeurs. C’est partie remise, car en 1977 Lauda remporte le titre qui lui était promis en 76 ainsi qu’un nouveau titre des constructeurs.
La disparition des grandes prises d’air placées au dessus de la tête des pilotes, modifie l’aspect de la 312 T2 par rapport à sa devancière la 312 T. La nouvelle version est facilement reconnaissable grâce à ses grandes prises d’air désormais placées devant et sur les côtés de l’habitacle.
La 312 T était un peu brutale dans son comportement, notamment dans les virages. C’est pourquoi Ferrari décida de rallonger légèrement l’empattement de la nouvelle voiture et d’en réduire les voies. A titre expérimental, Mauro Forghieri (concepteur de la 312 T2 avec Rochi et Salvarani) installa une suspension de type de Dion. Utilisée sur le premier prototype ce type de suspension ne sera jamais adopté en course. La coque de la 312 T2 était plus légère que celle de la 312 T, grâce à une structure intérieure en aluminium en remplacement de l’acier. Le poids des deux monoplaces est officiellement semblable, à la limite du minimum imposé par le règlement (575kg). Mais le 312 T2 est en réalité plus légère de 20 Kg.
Comme la 312 T, la 312 T2 est conçue pour que tous les poids non suspendus se trouvent entre les axes de roues avant/arrière. C’est pou cela qu’elle possède le même type de boîte de vitesse transversale à 5 rapports. La puissance du moteur quand à elle augmente de 5 Ch, pour atteindre la limite des 500 Ch autorisés à 12200 t/mn.
Le Championnat 1976 débute sous d’excellents auspices pour Ferrari, qui participe au 3 premiers grands prix avec l’ancienne monoplace la 312 T. Lauda triomphe au Brésil à Interlagos et en Afrique du Sud à Kyalami, tandis que Clay Regazzoni remporte le grand prix des Etats Unis Ouest à Long Beach devant son coéquipier. La 312 T2 fait ses débuts à, la course des Champions (hors Championnat) le 14 mars 1976 à Brands Hatch. Lauda se retire en raison d’une panne de freins. L’autrichien se placera 2ième au grand prix d’Espagne à Jarama, derrière un certain James Hunt momentanément disqualifié à cause de la trop grande largeur de sa monoplace. L’Anglais sera réintégré et sa victoire confirmée. La 312 T2 remporte sa première victoire à Zolder en Belgique avec Niki Lauda juste devant Regazzoni.
A Monaco Niki Lauda remporte une nouvelle victoire, après une course qu’il mena du début à la fin.
Niki Lauda victorieux à Monaco, en présence du couple princier.
James Hunt simulant le vol de la 312T2 de Niki Lauda (GP de Monaco), l'arme absolue pour la saison 76.
En Suède, à Anderstorp il se classe 3e derrière les fameuses Tyrrell à 6 roues de Scheckter et Depailler, tandis que Regazzoni termine 6e. Au GP de France au Castellet les Ferrari mènent mais doivent abandonner suite à des problèmes moteur. Mais Niki Lauda renoue avec la victoire à Brands Hatch au GP d’Angleterre après la disqualification de son rival James Hunt. Arrive le GP d’Allemagne au Nürburgring alors qu’il est en tête de la course il se blesse grièvement. Ferrari décide alors de ne pas participer au prochain GP d’Autriche à Zeltweg. Regazzoni reprend seul le chemin des grands prix, il se classe 2e derrière Hunt. En vue du grand prix d’Italie Ferrari engage l’argentin Carlos Reutemann alors pilote de l’écurie Brabham, mais Lauda ne l’entend pas ainsi, il récupère sa place et se classe 4e à Monza, six semaines à peine après son terrible accident. Regazzoni lui termine 2e, tandis que Reutemann termine seulement 9e. Lors des GP du Canada (Mosport) et des Etats Unis (Watkins Glen), disputés dans des conditions climatiques difficiles, la 312 T2 accuse quelques problèmes de tenue de route en raison d’un échauffement insuffisant des pneus arrière. Au Canada, Regazzoni n’est que sixième (Hunt étant vainqueur) Lauda sauve la face en terminant à la troisième place. Lors du dernier GP de la saison au Japon à Fuji, Lauda décide d’abandonner, course jugée dangereuse sous une pluie battante. Hunt termine 3e et s’adjuge in extremis le titre mondial. L’Autrichien ratant le titre d’un seul petit point. Regazzoni quand à lui termine à la 5e place , ce sera sa dernière course chez Ferrari.
La tragique fin de saison du Championnat du monde de F1 de 76 inspirera Ron Howard qui portera sur le grand écran RUSH, la rivalité entre deux grands champions l'anglais James Hunt et l'autrichien Niki Lauda.
Les résultats de la 312T2 1976 :
GP d’Espagne, 2 mai 2e Lauda, 11e Regazzoni
GP de Belgique, 16 mai 1er Lauda, 2e Regazzoni
GP de Monaco, 30 mai 1er Lauda, 14e Regazzoni
GP de Suède, 13 juin 3e Lauda, 6e Regazzoni
GP de Grande Bretagne 18 juillet 1er Lauda, Ab Regazzoni
GP des Pays Bas, 29 Août 2e Regazzoni
GP d’Italie 12 septembre 2e Regazzoni, Lauda 4e, 6e Reutemann
GP du Canada, 3 octobre 6e Regazzoni, 8e Lauda
GP des Etats Unis, 10 octobre 3e Lauda, 7e Regazzoni
GP du Japon, 24 octobre 5e Regazzoni, Lauda Ab
1976 - 312 T2 Niki Lauda (ELITE) GP de Monaco
Ma version après quelques légères transformations.
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1977 512 BB LM (BBR) # 2001/2010 Press Version
Premiers shooting de la bête! avec une météo plutôt clémente
Dernière édition par Scuderia57 le Sam 9 Mai 2020 10:41, édité 24 fois.
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Scuderia57
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1979 312 T4 #11 Jody Scheckter Exoto (A1111)
Dernière édition par Scuderia57 le Ven 1 Mai 2020 15:12, édité 4 fois.
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Scuderia57
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1979 512 BB Kyosho
Petit défaut de la part de Kyosho, l'absence du Cavallino sur le volant.
Défaut vite réparé!
Petit défaut de la part de Kyosho, l'absence du Cavallino sur le volant.
Défaut vite réparé!
Dernière édition par Scuderia57 le Ven 1 Mai 2020 15:23, édité 1 fois.
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Scuderia57
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Dark a écrit:
Ça c'est du lourd
C'est vrai qu'elle est belle cette 312 T4! Avec une multitude de détails, on ne se lasse pas de la regarder
En + elle a un palmarès qui parle pour elle.
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Dark
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Scuderia57 a écrit:
Dark a écrit:
Ça c'est du lourd
C'est vrai qu'elle est belle cette 312 T4! Avec une multitude de détails, on ne se lasse pas de la regarder
En + elle a un palmarès qui parle pour elle.
c'est clair
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b12cky
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- Inscription: Lun 24 Fév 2014 21:54
Very, very nice models.
I also have Techno Giodi Daytona Spyder, but it is modified.
I also have Techno Giodi Daytona Spyder, but it is modified.
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Scuderia57
- Messages: 2389
- Inscription: Sam 22 Fév 2014 18:59
b12cky a écrit:
Very, very nice models.
I also have Techno Giodi Daytona Spyder, but it is modified.
I also have Techno Giodi Daytona Spyder, but it is modified.
Thanks "b12cky"! Do you have any photo of this model?
you also have a great collection
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Scuderia57
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1982 Mondial 8 (Elite)
A vrai dire c'est pas la Ferrari que je préfère , mais la reproduction d'Elite est assez fidèle.
+ l'opportunité de l'acheter à un très bon prix (le magasin liquidait pour cessation d'activité)
Voilou!
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308 GTBi GR IV Tour de France 1982 Jean Claude Andruet/Biche
Rappel historique
Paris (Porte de Versailles) Octobre 1975, Ferrari présente en première mondiale au salon de Paris, la 308 GTB dessinée par Pininfarina et construite chez Scaglietti. Motorisée
par un V8 de 255 CH, pour un poids de 1090 Kg. Frankfort 1977 elle est déclinée en version GTS.
1980 la version à carburateurs est arrêtée. La 308 GTB sera produite à 2897 exemplaires, carrosseries polyester et acier confondues. Elle sera remplacée par la 308 GTBi et
recevra un système d’injection Bosch K-Jetronic et un allumage électronique Magnetti Marelli Digiplex, mais subira un perte de puissance sévère : 214 CH pour la version européenne,
et 205 CH pour l’Américaine.
1981 Daniel Marin alors Président-Directeur Général chez Pozzi convaincra avec détermination Enzo Ferrari d’engager dans plusieurs rallyes phares une 308 GTBi GR IV sous les couleurs
de Ferrari-France. La tâche était loin d’être aisé, surtout qu’à l’époque le groupe automobile auquel appartenait Ferrari faisait déjà courir des autos dans cette discipline. Il fallait oser ! et
le Commendatore aimait ça !
Avec l’aval d’Enzo, Gaetano Florini Responsable chez Ferrari de la compétition pour les filiales décide de travailler avec un préparateur de Padoue : « Michelotto Automobili »
Le projet aboutit. Les premières sorties seront effectuées dans les épreuves du Championnat italien. A son volant le pilote français Jean Claude Andruet confirmera tout le potentiel de son
prototype. Les courses s’enchaînent, les succès également, la 308 s’impose à la Targa Florio. En Corse, Andruet échoue alors qu’il est en tête de la course (abandon suite à un problème de
filtre à essence). La compétitivité de la 308 est telle, que Ferrari-France entrevoit la possibilité pour son pilote de jouer le titre européen. Hélas la couronne échappera à Andruet à la suite
d’une malveillance d’un membre de chez Michelotto détaché dans l’équipe française qui fera le plein d’essence avec de l’eau ! Fin 81 le bilan est flamboyant : Andruet totalise 4 victoires.
L’aventure de Ferrari se poursuivra en 1982 avec d’autres victoires. Jean Claude Andruet et « Biche » s’imposeront au rallye des Cévennes ainsi qu’au Tour de France. Elle prendra fin en
1984 avec l’arrivée des « Groupes B ».
Ferrari-France utilisera de 1981 à 1983 six 308 GTB Gr IV.
Les châssis utilisés : 19051, 20373, 20951, 21071, 31135, 26713.
Les autos auront étés confiées aux duos suivants : Jean Claude Andruet/Biche, Guy Chasseuil/Christian Baron
Palmarès 1981
Epreuve
Rallye des « quattro Regione » Andruet/Emmanuelli 1er
24 Heures d’Ypres Andruet/Emmanuelli 1er
Rallye du Var Andruet/Sappey abandon
Rallye de Madère Andruet/Biche abandon
Targa Florio Andruet/Tilber 1er
Tour de France Andruet/Bouchetal 1er
Palmarès 1982
Epreuve
Rallye Monte Carlo Andruet/Biche abandon/accident
Tour de Corse Chasseuil/Baron abandon
Tour de Corse Andruet/Biche 2ième
Targa Florio Andruet/Biche 2ième
24 Heures d’Ypres Chasseuil/Chasseuil abandon
Tour de France Andruet/Biche 1er
Tour de France Chasseuil/Chasseuil abandon
Critérium des Cévennes Andruet/Biche 1er
Caractéristiques Techniques
CHÂSSIS
Type : F160AB
Construction : tube acier, aluminium et titane
Moteur et Transmission
Type : F106A021
Architecture : 8 cylindres en V à 90°
Implantation : transversal, position centrale arrière
Cylindrée : 2926 cm3
Distribution : 2 soupapes par cylindres, 2 X 2 arbres à cames en tête
Puissance : 320 CH à 8000 tr/mn
Poids : 980 Kg
Carburation : injection
Boîte à vitesses : 5 rapports + marche arrière
Sans pommeau de vitesses
A vrai dire c'est pas la Ferrari que je préfère , mais la reproduction d'Elite est assez fidèle.
+ l'opportunité de l'acheter à un très bon prix (le magasin liquidait pour cessation d'activité)
Voilou!
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308 GTBi GR IV Tour de France 1982 Jean Claude Andruet/Biche
Rappel historique
Paris (Porte de Versailles) Octobre 1975, Ferrari présente en première mondiale au salon de Paris, la 308 GTB dessinée par Pininfarina et construite chez Scaglietti. Motorisée
par un V8 de 255 CH, pour un poids de 1090 Kg. Frankfort 1977 elle est déclinée en version GTS.
1980 la version à carburateurs est arrêtée. La 308 GTB sera produite à 2897 exemplaires, carrosseries polyester et acier confondues. Elle sera remplacée par la 308 GTBi et
recevra un système d’injection Bosch K-Jetronic et un allumage électronique Magnetti Marelli Digiplex, mais subira un perte de puissance sévère : 214 CH pour la version européenne,
et 205 CH pour l’Américaine.
1981 Daniel Marin alors Président-Directeur Général chez Pozzi convaincra avec détermination Enzo Ferrari d’engager dans plusieurs rallyes phares une 308 GTBi GR IV sous les couleurs
de Ferrari-France. La tâche était loin d’être aisé, surtout qu’à l’époque le groupe automobile auquel appartenait Ferrari faisait déjà courir des autos dans cette discipline. Il fallait oser ! et
le Commendatore aimait ça !
Avec l’aval d’Enzo, Gaetano Florini Responsable chez Ferrari de la compétition pour les filiales décide de travailler avec un préparateur de Padoue : « Michelotto Automobili »
Le projet aboutit. Les premières sorties seront effectuées dans les épreuves du Championnat italien. A son volant le pilote français Jean Claude Andruet confirmera tout le potentiel de son
prototype. Les courses s’enchaînent, les succès également, la 308 s’impose à la Targa Florio. En Corse, Andruet échoue alors qu’il est en tête de la course (abandon suite à un problème de
filtre à essence). La compétitivité de la 308 est telle, que Ferrari-France entrevoit la possibilité pour son pilote de jouer le titre européen. Hélas la couronne échappera à Andruet à la suite
d’une malveillance d’un membre de chez Michelotto détaché dans l’équipe française qui fera le plein d’essence avec de l’eau ! Fin 81 le bilan est flamboyant : Andruet totalise 4 victoires.
L’aventure de Ferrari se poursuivra en 1982 avec d’autres victoires. Jean Claude Andruet et « Biche » s’imposeront au rallye des Cévennes ainsi qu’au Tour de France. Elle prendra fin en
1984 avec l’arrivée des « Groupes B ».
Ferrari-France utilisera de 1981 à 1983 six 308 GTB Gr IV.
Les châssis utilisés : 19051, 20373, 20951, 21071, 31135, 26713.
Les autos auront étés confiées aux duos suivants : Jean Claude Andruet/Biche, Guy Chasseuil/Christian Baron
Palmarès 1981
Epreuve
Rallye des « quattro Regione » Andruet/Emmanuelli 1er
24 Heures d’Ypres Andruet/Emmanuelli 1er
Rallye du Var Andruet/Sappey abandon
Rallye de Madère Andruet/Biche abandon
Targa Florio Andruet/Tilber 1er
Tour de France Andruet/Bouchetal 1er
Palmarès 1982
Epreuve
Rallye Monte Carlo Andruet/Biche abandon/accident
Tour de Corse Chasseuil/Baron abandon
Tour de Corse Andruet/Biche 2ième
Targa Florio Andruet/Biche 2ième
24 Heures d’Ypres Chasseuil/Chasseuil abandon
Tour de France Andruet/Biche 1er
Tour de France Chasseuil/Chasseuil abandon
Critérium des Cévennes Andruet/Biche 1er
Caractéristiques Techniques
CHÂSSIS
Type : F160AB
Construction : tube acier, aluminium et titane
Moteur et Transmission
Type : F106A021
Architecture : 8 cylindres en V à 90°
Implantation : transversal, position centrale arrière
Cylindrée : 2926 cm3
Distribution : 2 soupapes par cylindres, 2 X 2 arbres à cames en tête
Puissance : 320 CH à 8000 tr/mn
Poids : 980 Kg
Carburation : injection
Boîte à vitesses : 5 rapports + marche arrière
Sans pommeau de vitesses
Dernière édition par Scuderia57 le Ven 1 Mai 2020 16:15, édité 15 fois.
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Xaneaze
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- Localisation: Chambéry
La grande classe ici !!
"Un palmarès se construit sur la passion des autres, on dépend de l'anonymat et de la passion partagée d'une écurie...." Jacky Ickx
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Scuderia57
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Xaneaze a écrit:
La grande classe ici !!
Merci "Xaneaze" ta galerie l'est autant!
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Scuderia57
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1984 288 GTO Bburago
Une des premières pièces de ma collection
Modifications :
- roues changées (F40)
- intérieur entièrement repeint
- moteur repeint
- cache écrou photo découpé (PCM)
- pare-soleil
- montants pare-brise repeints
- pommeau de vitesse
- feux av et arr
- clignotants d'ailes (Merci à Ferrero l'ambassadeur)
- ajout plaque immatriculation av
- etc...(je me souviens plus du reste, c'était à la fin des années 80
Une des premières pièces de ma collection
Modifications :
- roues changées (F40)
- intérieur entièrement repeint
- moteur repeint
- cache écrou photo découpé (PCM)
- pare-soleil
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- pommeau de vitesse
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- clignotants d'ailes (Merci à Ferrero l'ambassadeur)
- ajout plaque immatriculation av
- etc...(je me souviens plus du reste, c'était à la fin des années 80
Dernière édition par Scuderia57 le Sam 2 Mai 2020 10:18, édité 2 fois.
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Scuderia57
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1986 288 GTO Evoluzione Universal Hobbies
Avant : (photos trouvées sur la toile)
Après :
Avant : (photos trouvées sur la toile)
Après :
Dernière édition par Scuderia57 le Sam 2 Mai 2020 12:48, édité 2 fois.
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Scuderia57
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288 GTO "Mugello"
Transformation sur base Bburago
Bon, je ne suis pas trop fan de cette transformation, mais il faut dire qu'à l'époque, la sortie de nouveaux modèles à l'échelle 1/18
était aussi rare que de trouver un trèfle à quatre feuilles sur la pelouse du stade de France
Alors pour patienter, on bricolait! avec les moyens du bord (pas question d'utiliser le "Dremel" de toute façon ça n'existait pas
Transformation sur base Bburago
Bon, je ne suis pas trop fan de cette transformation, mais il faut dire qu'à l'époque, la sortie de nouveaux modèles à l'échelle 1/18
était aussi rare que de trouver un trèfle à quatre feuilles sur la pelouse du stade de France
Alors pour patienter, on bricolait! avec les moyens du bord (pas question d'utiliser le "Dremel" de toute façon ça n'existait pas
Dernière édition par Scuderia57 le Ven 8 Mai 2020 13:43, édité 1 fois.
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Scuderia57
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1984 testarossa Bburago
Transformation :
- Intérieur entièrement repeint
- Moteur repeint + ajout durite + réservoir
- Ecrous de roues (PCM)
- ponçage flanc pneus
- pommeau de vitesses changé
- ajout rétroviseur (PCM)
- ajout vitre latérale côté droit
- détails joins carrosserie, pare chocs, pare-brise
- feux av teint en jaune
- ajout plaque immat av
- calandre av repeinte
Transformation :
- Intérieur entièrement repeint
- Moteur repeint + ajout durite + réservoir
- Ecrous de roues (PCM)
- ponçage flanc pneus
- pommeau de vitesses changé
- ajout rétroviseur (PCM)
- ajout vitre latérale côté droit
- détails joins carrosserie, pare chocs, pare-brise
- feux av teint en jaune
- ajout plaque immat av
- calandre av repeinte
Dernière édition par Scuderia57 le Sam 2 Mai 2020 12:09, édité 2 fois.
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Scuderia57
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1986 328 GTB Kyosho
Modif :
- Jus noir, fond d'écrous de roues
Modif :
- Jus noir, fond d'écrous de roues
Dernière édition par Scuderia57 le Sam 2 Mai 2020 12:53, édité 1 fois.
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Scuderia57
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1987 F40 Bburago (celle avec qui j'ai commencé ma collection!)
Modifications :
- intérieur entièrement repeint
- pommeau de vitesse
- pare-soleil
- ajout clignotants d'ailes
- feux avant teintés noir
- ajout feux de recul arr
- création plaque immat av et arr
- joints de pare brise
- lisérés de caisse
- moteur repeint + ajout de durites
- embouts d'amortisseurs arr
- ajout vitre latérale droite et déflecteur gauche
- ajout goupilles de roues
- ajout trappes à essence
- ouïes latérales arr peintes
- bagage (création "maison")
- ...etc
Modifications :
- intérieur entièrement repeint
- pommeau de vitesse
- pare-soleil
- ajout clignotants d'ailes
- feux avant teintés noir
- ajout feux de recul arr
- création plaque immat av et arr
- joints de pare brise
- lisérés de caisse
- moteur repeint + ajout de durites
- embouts d'amortisseurs arr
- ajout vitre latérale droite et déflecteur gauche
- ajout goupilles de roues
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- ouïes latérales arr peintes
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- ...etc
Dernière édition par Scuderia57 le Ven 8 Mai 2020 13:51, édité 1 fois.
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Xaneaze
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- Inscription: Mer 21 Sep 2011 14:32
- Localisation: Chambéry
un seul mot !! sublime !!!
Rien que le boulot réalisé sur la roue de secours vaut son pesant de cacahouetes !!!
Bravo bravo !!! Tout à fait dans la veine SMC, tu es intronisé !! Bravo encore !
Rien que le boulot réalisé sur la roue de secours vaut son pesant de cacahouetes !!!
Bravo bravo !!! Tout à fait dans la veine SMC, tu es intronisé !! Bravo encore !
"Un palmarès se construit sur la passion des autres, on dépend de l'anonymat et de la passion partagée d'une écurie...." Jacky Ickx
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Scuderia57
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Dark a écrit:
superbe bravo
Xaneaze a écrit:
un seul mot !! sublime !!!
Rien que le boulot réalisé sur la roue de secours vaut son pesant de cacahouetes !!!
Bravo bravo !!! Tout à fait dans la veine SMC, tu es intronisé !! Bravo encore !
Rien que le boulot réalisé sur la roue de secours vaut son pesant de cacahouetes !!!
Bravo bravo !!! Tout à fait dans la veine SMC, tu es intronisé !! Bravo encore !
Merci Messieurs! Vos compliments me font plaisir! Surtout que c'était ma première transformation, celle qui m'a contaminée elle date un peu (fin des années 80)
une époque où les miniatures 1/18 n'étaient pas courantes.
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Scuderia57
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1987 F40 "Targa" Bburago
Modifications :
- découpe du pavillon (à la scie à métaux)
- Intérieur entièrement repeint
- essuie-glace photodécoupe (PCM)
- ajout déflecteurs
- création harnais Sabelt
- pommeau de vitesse
- création pédalier alu
- clé de contact photodécoupe (PCM)
- moteur repeint + ajout durites + quelques pièces
- ajout amortisseur arr (récup moto)
- liséré de caisse
- écussons d'ailes
- pare-soleil
- joint de pare-brise
- feux av teintés noir
- ajout valves de roues
- intérieur jantes repeint
- grilles d'aération tableau de bord
- ... etc
Modifications :
- découpe du pavillon (à la scie à métaux)
- Intérieur entièrement repeint
- essuie-glace photodécoupe (PCM)
- ajout déflecteurs
- création harnais Sabelt
- pommeau de vitesse
- création pédalier alu
- clé de contact photodécoupe (PCM)
- moteur repeint + ajout durites + quelques pièces
- ajout amortisseur arr (récup moto)
- liséré de caisse
- écussons d'ailes
- pare-soleil
- joint de pare-brise
- feux av teintés noir
- ajout valves de roues
- intérieur jantes repeint
- grilles d'aération tableau de bord
- ... etc
Dernière édition par Scuderia57 le Sam 9 Mai 2020 10:03, édité 9 fois.
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Dark
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- Inscription: Mar 31 Mai 2011 22:30
Virus quand tu nous tiens ...après ça fini par une casse a la Dark
Super ....heu la prochaine je veux du contage ...c'est mon truc les vielleries....
Genre une Ferrari des années 50 /60....
Super ....heu la prochaine je veux du contage ...c'est mon truc les vielleries....
Genre une Ferrari des années 50 /60....
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Scuderia57
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- Inscription: Sam 22 Fév 2014 18:59
Dark a écrit:
Virus quand tu nous tiens ...après ça fini par une casse a la Dark
Super ....heu la prochaine je veux du contage ...c'est mon truc les vielleries....
Genre une Ferrari des années 50 /60....
Super ....heu la prochaine je veux du contage ...c'est mon truc les vielleries....
Genre une Ferrari des années 50 /60....
Ouh là là! y a encore de la marge avant que je puisse avoir une casse à la Dark!
Et je ne suis pas sûr que les pièces BBurago puissent rivaliser avec celles de BBR
Promis dès que j'aurai un projet digne de ce nom sur une Ferrari ancienne, je me ferai une joie de vous la dévoiler en priorité sur SMC!
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Scuderia57
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1989 348 tb Bburago
Modifications :
- intérieur entièrement repeint
- ajout ceintures de sécurité
- pommeau de vitesse
- tapis "cavallino Rosso"
- clignotants d'ailes
- disque de frein
- pare-soleil et joints de pare-brise
- plaque immat av
- moteur repeint
- liséré de caisse
- serrures portières
- ajout logo de roues
- etc...
Modifications :
- intérieur entièrement repeint
- ajout ceintures de sécurité
- pommeau de vitesse
- tapis "cavallino Rosso"
- clignotants d'ailes
- disque de frein
- pare-soleil et joints de pare-brise
- plaque immat av
- moteur repeint
- liséré de caisse
- serrures portières
- ajout logo de roues
- etc...
Dernière édition par Scuderia57 le Sam 2 Mai 2020 10:24, édité 1 fois.
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Scuderia57
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1989 Mythos Concept Pininfarina (Revell)
Modifications
- intérieur entièrement repeint
- pommeau de vitesse
- moteur repeint
Modifications
- intérieur entièrement repeint
- pommeau de vitesse
- moteur repeint
Dernière édition par Scuderia57 le Sam 2 Mai 2020 10:33, édité 1 fois.
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Scuderia57
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1990 641 F1 Alain Prost GP Mexico (Exoto) # A 4283
Dernière édition par Scuderia57 le Sam 9 Mai 2020 10:07, édité 2 fois.
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Xaneaze
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- Localisation: Chambéry
Sublime !!! Excellent modèle et excellente maitrise du shoot !! Bravo !
"Un palmarès se construit sur la passion des autres, on dépend de l'anonymat et de la passion partagée d'une écurie...." Jacky Ickx
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Dark
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Ha oui celle la est vraiment superbe ....Dark j'adore
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Scuderia57
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Vous avez bon goût messieurs!
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1992 456 GT Bburago
Modifications :
- intérieur entièrement repeint
- pommeau de vitesse chromé
- logo cavallino roues
- clignotants d'ailes
- joint pare-brise
Modifications :
- intérieur entièrement repeint
- pommeau de vitesse chromé
- logo cavallino roues
- clignotants d'ailes
- joint pare-brise
Dernière édition par Scuderia57 le Ven 1 Mai 2020 15:47, édité 1 fois.
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1992 456 Spider
Modifications :
- toit coupé à la scie à métaux
- carrosserie entièrement repeinte
- clignotants d'ailes
- intérieur entièrement repeint
- logo cavalino roues
- création capote
Modifications :
- toit coupé à la scie à métaux
- carrosserie entièrement repeinte
- clignotants d'ailes
- intérieur entièrement repeint
- logo cavalino roues
- création capote
Dernière édition par Scuderia57 le Dim 31 Mai 2020 11:35, édité 3 fois.
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1992 512 TR (Kyosho)
Dernière édition par Scuderia57 le Ven 1 Mai 2020 15:40, édité 1 fois.
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1993 F93 # 27 Jean Alesi (Minichamps)
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1994 412 T1 #27 Jean Alesi (Minichamps)
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