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CMC, Mercedes SSKL, 1931. Le grand Caracciola remporta le GP d'Allemagne de 1931 en Formule libre (à l'époque, les réglementations étaient peu suivies car trop changeantes et souvent mal faites).
C'était de toute façon la seule chance pour cette grosse Mercedes de gagner face aux légères et agiles Bugatti et Alfa Romeo.



CMC, Mercedes W25, 1934. Et les flèches d'argent arrivèrent ! Les voitures de Grand Prix changent de règlement, une seule limite ou presque : 750 kg maximum ! Les législateurs pensaient rester raisonnables et ce fut tout le contraire. Les moteurs vont grossir à un rythme effréné pour atteindre les 6L ! Et ce sont les Allemands qui dominent outrageusement.
Les Français décident vite de quitter la bataille pour privilégier hypocritement des voitures de sport soit disant plus en rapport avec la voiture de monsieur tout le monde. Les Italiens résistent puis jettent l'éponge également pour se concentrer sur les voiturettes (qui deviendront après-guerre les premières F1, d'où la domination initiale italienne des années 50).






CMC, Mercedes W196, France 1954. C'est la voiture de Kling, beaucoup moins cher d'occasion que celle de Fangio.
L'histoire est connue : avec l'arrivée de la nouvelle réglementation 2.5L, Mercedes décide de revenir et ne fait pas les choses à moitié. Le GP de France à Reims est une démonstration. Fangio et Kling s'échappent et s'échangent la première place. Les consignes d'équipe ou le coup de volant de l'argentin décide du classement final, Kling sera second juste derrière son chef de file. La suite de l'année prouvera que la Mercedes n'est pas si fantastique que cela et l'équipe devra profondément modifier sa voiture (carrosserie classiques et empattement court) et plus encore s'appuyer sur la maîtrise absolue de Fangio, ses équipiers allemands se montrant plus discrets. Mais avec sa ligne sublime et le triomphe français, un mythe est né !





CMC, Mercedes 300SLR, 1955, celle de la victoire mythique du binôme Moss/Jenkinson lors des Mille Miglia !
"Dopé" par les pilules de Fangio, admirablement secondé par le journaliste Jenkinson qui lira d’interminables notes, Moss va survoler la course et battre Fangio qui a préféré partir seul (il refusait tout navigateur depuis un accident tragique survenu des années auparavant)




C'était de toute façon la seule chance pour cette grosse Mercedes de gagner face aux légères et agiles Bugatti et Alfa Romeo.



CMC, Mercedes W25, 1934. Et les flèches d'argent arrivèrent ! Les voitures de Grand Prix changent de règlement, une seule limite ou presque : 750 kg maximum ! Les législateurs pensaient rester raisonnables et ce fut tout le contraire. Les moteurs vont grossir à un rythme effréné pour atteindre les 6L ! Et ce sont les Allemands qui dominent outrageusement.
Les Français décident vite de quitter la bataille pour privilégier hypocritement des voitures de sport soit disant plus en rapport avec la voiture de monsieur tout le monde. Les Italiens résistent puis jettent l'éponge également pour se concentrer sur les voiturettes (qui deviendront après-guerre les premières F1, d'où la domination initiale italienne des années 50).






CMC, Mercedes W196, France 1954. C'est la voiture de Kling, beaucoup moins cher d'occasion que celle de Fangio.
L'histoire est connue : avec l'arrivée de la nouvelle réglementation 2.5L, Mercedes décide de revenir et ne fait pas les choses à moitié. Le GP de France à Reims est une démonstration. Fangio et Kling s'échappent et s'échangent la première place. Les consignes d'équipe ou le coup de volant de l'argentin décide du classement final, Kling sera second juste derrière son chef de file. La suite de l'année prouvera que la Mercedes n'est pas si fantastique que cela et l'équipe devra profondément modifier sa voiture (carrosserie classiques et empattement court) et plus encore s'appuyer sur la maîtrise absolue de Fangio, ses équipiers allemands se montrant plus discrets. Mais avec sa ligne sublime et le triomphe français, un mythe est né !





CMC, Mercedes 300SLR, 1955, celle de la victoire mythique du binôme Moss/Jenkinson lors des Mille Miglia !
"Dopé" par les pilules de Fangio, admirablement secondé par le journaliste Jenkinson qui lira d’interminables notes, Moss va survoler la course et battre Fangio qui a préféré partir seul (il refusait tout navigateur depuis un accident tragique survenu des années auparavant)



