L'ÉCLAIRAGE ET LE CLAIR-OBSCUR

L'ÉCLAIRAGE ET LE CLAIR-OBSCUR
L'éclairage nous renseigne sur la nature de la lumière (s'agit-il du soleil ? d'une lampe électrique ? d'une chandelle ?) ; sur la manière dont elle se distribue (vient-elle de gauche ? de droite ?). Il a pour fonction de compléter le signalement des objets en les situant aux différents moments de la journée par rapport aux circonstances particulières dans lesquelles ils se trouvent et dans lesquelles nous nous trouvons.
Pour Rembrandt l'âme n'est en effet ni dans nos actes, ni dans notre enveloppe physique, ni dans notre rang social; elle est dans cette clarté obscure de notre être profond, dans cette lueur intermittente qui accepte de composer avec nos ténèbres intérieures.

Il est rare que nous prêtions attention au traitement
De la lumière dans la réalisation d’une image
Et pourtant une image, n'est qu'un assemblage
Complexe de différentes lumières et couleurs
L'ensemble du spectre des couleurs
Est constitué par les couleurs dites chaudes
Le rouge, le jaune, le marron, le noir, l'outre noir...
Qui soulignent les zones d'ombre et des couleurs froides
Le bleu, le vert, le blanc ...
Et révèlent ainsi, les zones de clarté
Dirigent le regard .
La seule exception à cette règle
C’est la lumière en opposition avec l'obscurité.
Le clair-obscur est une technique picturale
Consistant à jouer avec la lumière.
Car cette fois il y a un effort conscient
De mettre en évidence cet élément
En le plaçant dans un contexte opposé.
En VRAC
L’utilisation du clair-obscur dans la peinture symbolise
L’intervention divine dans le monde obscur
Qui est celui des humains.
En littérature, il est utilisé par exemple.
Par Balzac , ceci est dû à son intérêt pour Rembrandt.
Il peut ainsi décrire les différents aspects de ses personnages
Ce procédé fut mis au point par
Polidoro da Caravaggio à la Renaissance.
De nombreux peintres utilisèrent ce procédé
Georges de la Tour (Saint Joseph, charpentier ..1593-1652)
Louis Le Nain (Une famille de paysans dans un intérieur)
Giovanni Bellini (Le Doge Leonardo Loredano 1501)
Le Caravage (Martyre de saint Matthie 1600)
Rembrandt (Les pèlerins d'Emmaüs 1646)
Vermeer (L’Astronome)
Magritte (L'empire des lumières)
William Turner (Pêcheurs en mer, 1796)
Georges de la tour (le souffleur à la lampe) 1640
Caribou (la Ford enfumée 2011)

L'éclairage nous renseigne sur la nature de la lumière (s'agit-il du soleil ? d'une lampe électrique ? d'une chandelle ?) ; sur la manière dont elle se distribue (vient-elle de gauche ? de droite ?). Il a pour fonction de compléter le signalement des objets en les situant aux différents moments de la journée par rapport aux circonstances particulières dans lesquelles ils se trouvent et dans lesquelles nous nous trouvons.
Pour Rembrandt l'âme n'est en effet ni dans nos actes, ni dans notre enveloppe physique, ni dans notre rang social; elle est dans cette clarté obscure de notre être profond, dans cette lueur intermittente qui accepte de composer avec nos ténèbres intérieures.

Il est rare que nous prêtions attention au traitement
De la lumière dans la réalisation d’une image
Et pourtant une image, n'est qu'un assemblage
Complexe de différentes lumières et couleurs
L'ensemble du spectre des couleurs
Est constitué par les couleurs dites chaudes
Le rouge, le jaune, le marron, le noir, l'outre noir...
Qui soulignent les zones d'ombre et des couleurs froides
Le bleu, le vert, le blanc ...
Et révèlent ainsi, les zones de clarté
Dirigent le regard .
La seule exception à cette règle
C’est la lumière en opposition avec l'obscurité.
Le clair-obscur est une technique picturale
Consistant à jouer avec la lumière.
Car cette fois il y a un effort conscient
De mettre en évidence cet élément
En le plaçant dans un contexte opposé.
En VRAC
L’utilisation du clair-obscur dans la peinture symbolise
L’intervention divine dans le monde obscur
Qui est celui des humains.
En littérature, il est utilisé par exemple.
Par Balzac , ceci est dû à son intérêt pour Rembrandt.
Il peut ainsi décrire les différents aspects de ses personnages
Ce procédé fut mis au point par
Polidoro da Caravaggio à la Renaissance.
De nombreux peintres utilisèrent ce procédé
Georges de la Tour (Saint Joseph, charpentier ..1593-1652)
Louis Le Nain (Une famille de paysans dans un intérieur)
Giovanni Bellini (Le Doge Leonardo Loredano 1501)
Le Caravage (Martyre de saint Matthie 1600)
Rembrandt (Les pèlerins d'Emmaüs 1646)
Vermeer (L’Astronome)
Magritte (L'empire des lumières)
William Turner (Pêcheurs en mer, 1796)
Georges de la tour (le souffleur à la lampe) 1640



