Voici Rick Genest, alias Zombie boy, un gars de Montréal .
Un cousin a caribou vous comprenez mieux maintenant

Zombie Boy, phénomène de bizarrerie de l’heure, s’est associé à Lady Gaga à la quête de la célébrité. Une association démontre que l’art du divertissement moderne est à la recherche d’association d’effets sensoriels extrêmes, toujours plus excessifs et éphémères.
Un point d’intérêt demeure : la peau comme support pour une transformation de l’apparence du corps humain, à la fois une suggestion de représentation du corps décomposé.
En terminant, Zombie Boy est un produit de terroir montréalais… il s’appelle Rick Genest, tatoué par Frank Lewis de la boutique de tatouages Derm FX. Si! Tout ça, à Montréal… terrifiant, n’est-ce pas?!

Est-ce une recherche d’identité refoulée sous la peau. Où l’art au seuil de la folie associe le beau et le répugnant, l’agréable et le désagréable. Certes ce n’est absolument pas facile d’exercer sur un support dont la surface irrégulière à matière vivante le rend encore plus difficile. C’est une interférence au millionième entre l’artiste et l’œuvre mobile ou l’inverse peut être aussi juste.