EN CE MOMENT JE REGARDE
Re: EN CE MOMENT JE REGARDE
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Dark
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Et oui excellent .....
Une brute qui marche va toujours plus loin que deux intellectuels assis ......
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coincoin
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un singe en Hiver?
çà c'est un film mythique
AUDIARD est en grande forme
le duo Gabin / bébél fonctionne a merveille
il y aurait trop de citations, c'est tout le film qui est une succession de replique
(les engueulades dans le bar avec Quentin)
ou les délires d'alcooliques qui voyagent...
(pour info, ils buvaient du thé!) , doués les acteurs!
çà c'est un film mythique
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il y aurait trop de citations, c'est tout le film qui est une succession de replique
(les engueulades dans le bar avec Quentin)
ou les délires d'alcooliques qui voyagent...
(pour info, ils buvaient du thé!) , doués les acteurs!
mon objectif? que les fabricants se depechent et que je puisse avoir toutes les winners du mans depuis 1923 à nos jours a se suivre dans mes vitrines!
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Dark
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coincoin a écrit:
un singe en Hiver?
çà c'est un film mythique
AUDIARD est en grande forme
le duo Gabin / bébél fonctionne a merveille
il y aurait trop de citations, c'est tout le film qui est une succession de replique
(les engueulades dans le bar avec Quentin)
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(pour info, ils buvaient du thé!) , doués les acteurs!
çà c'est un film mythique
AUDIARD est en grande forme
le duo Gabin / bébél fonctionne a merveille
il y aurait trop de citations, c'est tout le film qui est une succession de replique
(les engueulades dans le bar avec Quentin)
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SASOUKY74
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Interstellar 2h50 j'en suis à 49 mn....il m'emballe bien.
Il y a un moment que j'avais pas vu un jolie film comme celui-ci ,je vous le conseille ,si vous ne l'avez pas déjà vu.
Il y a un moment que j'avais pas vu un jolie film comme celui-ci ,je vous le conseille ,si vous ne l'avez pas déjà vu.
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Xaneaze
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je le matte ce WE
"Un palmarès se construit sur la passion des autres, on dépend de l'anonymat et de la passion partagée d'une écurie...." Jacky Ickx
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SASOUKY74
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3 saison épisode 6 de Vikings trop bon.
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Dark
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SASOUKY74 a écrit:
3 saison épisode 6 de Vikings trop bon.
J'adore
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SASOUKY74
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Vu hier soir film tranquille bien fait et l'histoire révélé à voir.
Imitation Game.
Imitation Game.
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Pat
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SASOUKY74
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Dernière édition par SASOUKY74 le Ven 1 Mai 2015 11:54, édité 1 fois.
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Dark
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SASOUKY74 a écrit:
American Sniper de Clint Eastwood ,je vous le conseille j'ai passer un bon moment.
https://www.youtube.com/watch?v=2UR-tHHG-l
http://fr.wikipedia.org/wiki/Chris_Kyle
https://www.youtube.com/watch?v=2UR-tHHG-l
http://fr.wikipedia.org/wiki/Chris_Kyle
viewtopic.php?f=5&t=4371
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Xaneaze
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SASOUKY74 a écrit:
Vu hier soir film tranquille bien fait et l'histoire révélé à voir.
Imitation Game.
Imitation Game.
Pour aller plus loin
https://www.youtube.com/watch?v=7dpFeXV_hqs
je n'ai pas encore vu le film mais j'ai lu le livre il y a 2/3 mois
Je pars à Londres dans un mois où je ne manquerai pas de faire voir en vrai Enigma à mes élèves au Science Museum
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SASOUKY74
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SASOUKY74
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Les musiques cool............le film aussi sa change ,des films à effets spéciaux.
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Antoine
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Est-ce que qu'après avoir regardé "L'Homme qui en savait trop" vous en savez davantage ?
Antoine. L'homme est la pièce rapportée de la Nature : il passe son temps à mesurer...
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Dark
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Antoine a écrit:
Est-ce que qu'après avoir regardé "L'Homme qui en savait trop" vous en savez davantage ?
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Dark
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Whiplash -
A 19 ans, Andrew est déjà un virtuose de la batterie. Au conservatoire de Manhattan, il se donne les moyens de réussir dans le jazz. Il voudrait que le redoutable Terence Fletcher l'intègre dans son orchestre qui réunit les meilleurs éléments de l'école. Alors qu'il pense l'avoir séduit, le professeur tyrannique le rabaisse et l'humilie en public. Fletcher ne cesse de souffler le chaud et le froid, partisan de la violence psychologique. Son sadisme pèse sur la vie sentimentale du jeune homme qui commence une relation avec la jolie Nicole. Finalement batteur du groupe, il prend tous les risques pour arriver à temps à un concert...
On aime passionnément
Garder ses mains dans ses poches quand surgit le dernier plan de Whiplash, c'est comme assister à un concert de Stromae assis : mission impossible. Partout où il passe, Sundance, Cannes, Deauville, et même, fait rarissime, en projection de presse, ce film électrisant produit chaque fois l'effet d'un coup de fouet (whiplash, en anglais) vivifiant. Et provoque un irrépressible besoin d'applaudir... Sur le papier, l'histoire d'Andrew n'a rien d'euphorisant. Bien décidé à devenir le meilleur, ce jeune batteur d'un conservatoire de Manhattan réussit à intégrer un orchestre de jazz ultra prestigieux. Le hic : il est dirigé par le terrifiant Terence Fletcher, qui tient la perversité et l'humiliation pour des vertus pédagogiques (imaginez le Marquis de Sade à la tête d'un IUFM).
Avec une virtuosité incroyable, Damien Chazelle fait de cette maigre intrigue un duel captivant où le jazz, musique jouissive, se fabrique dans la douleur, à grands jets de sueur et de sang. Mise en scène syncopée, tension permanente, jeux d'éclairage dignes d'un film noir... S'inspirant de sa propre expérience à la batterie, le réalisateur américain mélomane (son premier film rendait hommage aux musicals des années 1930) imprime au récit le tempo de ces vieux standards de jazz (dont Whiplash) qui donnent tant de mal à Andrew. En quelques gros plans — la main d'un batteur truffée d'ampoules, une flaque de salive aux pieds d'un trompettiste —, le réalisateur rend sensible la souffrance et l'angoisse de ces jeunes musiciens qui, sous une façade harmonieuse, se livrent à une compétition acharnée. Dans ce combat sans merci, l'art de l'instrumentiste vire au sport de combat et la salle de concert au ring de boxe. Avec les répliques de Fletcher, le bourreau des pupitres, en guise d'uppercuts : « Voyons si tu es là grâce à ton physique... », dit-il à une jolie tromboniste en lui faisant signe de jouer. Une seule note et le verdict tombe, cinglant : « La réponse est oui. »
Formellement maîtrisé, le film brille, aussi, par ses qualités d'écriture. Au fil d'un récit qui ne cesse de se réinventer jusqu'au twist final, les personnages se densifient, gagnent en complexité. Entre le jeune ambitieux et le prof castrateur, le face-à-face devient de plus en plus ambigu. Andrew (excellent Miles Teller), d'abord pathétique et intrépide, se révèle arrogant, très mauvais camarade, prêt à toutes les bassesses pour devenir un grand. Quant à la cruauté de son mentor, interprété par J.K. Simmons, connu pour son rôle de sadique dans la série Oz, elle masque une âme tourmentée. Intimement persuadé que le génie ne peut naître que d'une réaction d'orgueil, Fletcher croit dur comme fer à la légende de Charlie Parker : le roi du be-bop serait devenu le « Bird » après avoir reçu, un soir où il avait mal joué, une cymbale et des moqueries en pleine tête.
A la fin du concert, pardon, du film, un ultime et magistral morceau de bravoure devrait départager les spectateurs : d'un côté, les humanistes, qui estimeront que le jeu n'en vaut pas la chandelle, de l'autre, les esthètes, pour qui la beauté n'a pas de prix.
A 19 ans, Andrew est déjà un virtuose de la batterie. Au conservatoire de Manhattan, il se donne les moyens de réussir dans le jazz. Il voudrait que le redoutable Terence Fletcher l'intègre dans son orchestre qui réunit les meilleurs éléments de l'école. Alors qu'il pense l'avoir séduit, le professeur tyrannique le rabaisse et l'humilie en public. Fletcher ne cesse de souffler le chaud et le froid, partisan de la violence psychologique. Son sadisme pèse sur la vie sentimentale du jeune homme qui commence une relation avec la jolie Nicole. Finalement batteur du groupe, il prend tous les risques pour arriver à temps à un concert...
On aime passionnément
Garder ses mains dans ses poches quand surgit le dernier plan de Whiplash, c'est comme assister à un concert de Stromae assis : mission impossible. Partout où il passe, Sundance, Cannes, Deauville, et même, fait rarissime, en projection de presse, ce film électrisant produit chaque fois l'effet d'un coup de fouet (whiplash, en anglais) vivifiant. Et provoque un irrépressible besoin d'applaudir... Sur le papier, l'histoire d'Andrew n'a rien d'euphorisant. Bien décidé à devenir le meilleur, ce jeune batteur d'un conservatoire de Manhattan réussit à intégrer un orchestre de jazz ultra prestigieux. Le hic : il est dirigé par le terrifiant Terence Fletcher, qui tient la perversité et l'humiliation pour des vertus pédagogiques (imaginez le Marquis de Sade à la tête d'un IUFM).
Avec une virtuosité incroyable, Damien Chazelle fait de cette maigre intrigue un duel captivant où le jazz, musique jouissive, se fabrique dans la douleur, à grands jets de sueur et de sang. Mise en scène syncopée, tension permanente, jeux d'éclairage dignes d'un film noir... S'inspirant de sa propre expérience à la batterie, le réalisateur américain mélomane (son premier film rendait hommage aux musicals des années 1930) imprime au récit le tempo de ces vieux standards de jazz (dont Whiplash) qui donnent tant de mal à Andrew. En quelques gros plans — la main d'un batteur truffée d'ampoules, une flaque de salive aux pieds d'un trompettiste —, le réalisateur rend sensible la souffrance et l'angoisse de ces jeunes musiciens qui, sous une façade harmonieuse, se livrent à une compétition acharnée. Dans ce combat sans merci, l'art de l'instrumentiste vire au sport de combat et la salle de concert au ring de boxe. Avec les répliques de Fletcher, le bourreau des pupitres, en guise d'uppercuts : « Voyons si tu es là grâce à ton physique... », dit-il à une jolie tromboniste en lui faisant signe de jouer. Une seule note et le verdict tombe, cinglant : « La réponse est oui. »
Formellement maîtrisé, le film brille, aussi, par ses qualités d'écriture. Au fil d'un récit qui ne cesse de se réinventer jusqu'au twist final, les personnages se densifient, gagnent en complexité. Entre le jeune ambitieux et le prof castrateur, le face-à-face devient de plus en plus ambigu. Andrew (excellent Miles Teller), d'abord pathétique et intrépide, se révèle arrogant, très mauvais camarade, prêt à toutes les bassesses pour devenir un grand. Quant à la cruauté de son mentor, interprété par J.K. Simmons, connu pour son rôle de sadique dans la série Oz, elle masque une âme tourmentée. Intimement persuadé que le génie ne peut naître que d'une réaction d'orgueil, Fletcher croit dur comme fer à la légende de Charlie Parker : le roi du be-bop serait devenu le « Bird » après avoir reçu, un soir où il avait mal joué, une cymbale et des moqueries en pleine tête.
A la fin du concert, pardon, du film, un ultime et magistral morceau de bravoure devrait départager les spectateurs : d'un côté, les humanistes, qui estimeront que le jeu n'en vaut pas la chandelle, de l'autre, les esthètes, pour qui la beauté n'a pas de prix.
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SASOUKY74
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Sa me donne envie de le voir .
Merci.
Merci.
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Antoine
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- Localisation: Provence Alpes Côte d'Azur
La musique est de toute façon une porte très basse, il faut savoir faire d'un extrême humilité pour l'ouvrir.
Tient par exemple, jouer du violon, c'est pas un truc de ouf ça ?
Tient par exemple, jouer du violon, c'est pas un truc de ouf ça ?
Antoine. L'homme est la pièce rapportée de la Nature : il passe son temps à mesurer...
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Dark
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Antoine a écrit:
La musique est de toute façon une porte très basse, il faut savoir faire d'un extrême humilité pour l'ouvrir.
Tient par exemple, jouer du violon, c'est pas un truc de ouf ça ?
Tient par exemple, jouer du violon, c'est pas un truc de ouf ça ?
ou chanter comme un maitre .....ou faire le maitre chanteur
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Antoine
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- Localisation: Provence Alpes Côte d'Azur
Un maître chanteur se retrouve assez souvent au violon d'ailleurs
Antoine. L'homme est la pièce rapportée de la Nature : il passe son temps à mesurer...
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Dark
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Antoine a écrit:
Un maître chanteur se retrouve assez souvent au violon d'ailleurs
ou sous le charme de celui dIngres
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SASOUKY74
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Très bon aussi!
Pour ma part j'ai attaqué la saison 2 de "The Strain" je me régale toujours autant !
Pour ma part j'ai attaqué la saison 2 de "The Strain" je me régale toujours autant !
-
Dark
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SASOUKY74 a écrit:
Très bon aussi!
Pour ma part j'ai attaqué la saison 2 de "The Strain" je me régale toujours autant !
Pour ma part j'ai attaqué la saison 2 de "The Strain" je me régale toujours autant !
C'est quoi fait voir
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SASOUKY74
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-
Dark
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SASOUKY74 a écrit:
????????????
il faut que je regarde
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Chris06
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- Inscription: Mar 1 Jan 2013 23:28
Pat a écrit:
Cette acteur est exceptionnel, et dans ce film, il est juste parfait
Envoyer depuis mon ail faune
Sur Instagram : chriszerosix
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-
Chris06
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Antoine a écrit:
Un vrai régal.
Incontournable duo mythique
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Pat
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Ecoute ma bonne Suzanne, t'es une épouse modèle !
Mais si, t'as que des qualités ! Et physiquement t'es restée comme je pouvais l'espérer : c'est le bonheur rangé dans une armoire. Et tu vois même si c'était à refaire, je t'épouserais de nouveau.
Mais tu m'emmerdes...
Tu m'emmerdes gentiment, affectueusement, avec amour mais TU - M'EN - MERDES !
Mais si, t'as que des qualités ! Et physiquement t'es restée comme je pouvais l'espérer : c'est le bonheur rangé dans une armoire. Et tu vois même si c'était à refaire, je t'épouserais de nouveau.
Mais tu m'emmerdes...
Tu m'emmerdes gentiment, affectueusement, avec amour mais TU - M'EN - MERDES !
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Chris06
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Pat a écrit:
Ecoute ma bonne Suzanne, t'es une épouse modèle !
Mais si, t'as que des qualités ! Et physiquement t'es restée comme je pouvais l'espérer : c'est le bonheur rangé dans une armoire. Et tu vois même si c'était à refaire, je t'épouserais de nouveau.
Mais tu m'emmerdes...
Tu m'emmerdes gentiment, affectueusement, avec amour mais TU - M'EN - MERDES !
Mais si, t'as que des qualités ! Et physiquement t'es restée comme je pouvais l'espérer : c'est le bonheur rangé dans une armoire. Et tu vois même si c'était à refaire, je t'épouserais de nouveau.
Mais tu m'emmerdes...
Tu m'emmerdes gentiment, affectueusement, avec amour mais TU - M'EN - MERDES !
Tros bon!
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SASOUKY74
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Dark a écrit:
SASOUKY74 a écrit:
????????????
il faut que je regarde
Yes !
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Xaneaze
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Chris06 a écrit:
Antoine a écrit:
Un vrai régal.
Incontournable duo mythique
un film magnifique, je l'ai vu il y a 2 ans, j'ai adoré le duo Bebel / Gabin !
un film à montrer à ses gosses !
"Un palmarès se construit sur la passion des autres, on dépend de l'anonymat et de la passion partagée d'une écurie...." Jacky Ickx
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Dark
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Xaneaze a écrit:
Chris06 a écrit:
Antoine a écrit:
Un vrai régal.
Incontournable duo mythique
un film magnifique, je l'ai vu il y a 2 ans, j'ai adoré le duo Bebel / Gabin !
un film à montrer à ses gosses !
Extrait dialogue audiart
Si je buvais moins je serais un autre homme ....j'y tiens pas
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Dark
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Un singe en hiver
Citations « Un singe en hiver » sur Wikiquote, le recueil de citations libre
Un singe en hiver est un film d'Henri Verneuil sorti en 1962. Les dialogues sont signés Michel Audiard.
Attention aux roches, et surtout, attention aux mirages ! Le Yang-tsé-Kiang n'est pas un fleuve, c'est une avenue. Une avenue de 5000 km qui dégringole du Tibet pour finir dans la mer Jaune, avec des jonques et puis des sampans de chaque côté. Puis au milieu, il y a des… des tourbillons d'îles flottantes avec des orchidées hautes comme des arbres. Le Yang-tsé-Kiang, camarade, c'est des millions de mètres cubes d'or et de fleurs qui descendent vers Nankin, puis avec tout le long des villes ponton où on peut tout acheter, l'alcool de riz, les religions… les garces et l'opium…
Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Aux chiottes les Teutons ! Bande de mange-merde !
Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Si je buvais moins, je serais un autre homme, et j'y tiens pas !
Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Ah ! Nous y voilà ! Ma bonne Suzanne, tu viens de commettre ton premier faux pas ! Y a des femmes qui révèlent à leur mari toute une vie d'infidélité, mais toi, tu viens de m'avouer 15 années de soupçon. C'est pire ! Eh bien que t'a peut-être raison : qui a bu boira ! Ça faut reconnaître qu'on a le proverbe contre nous.
Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Ecoute ma bonne Suzanne, t'es une épouse modèle ! Mais si, t'as que des qualités ! Et physiquement t'es restée comme je pouvais l'espérer : c'est le bonheur rangé dans une armoire. Et tu vois même si c'était à refaire, je t'épouserais de nouveau. Mais tu m'emmerdes... Tu m'emmerdes gentiment, affectueusement, avec amour mais TU - M'EN - MERDES!
Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Les gastronomes disent que c'est une maison de passe et les vicelards un restaurant chinois.
Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Dis-toi bien que si quelque chose devait me manquer, ce ne serait plus le vin, ce serait l'ivresse !
Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
En Chine, quand les grands froids arrivent, dans toutes les rues des villes, on trouve des tas de petits singes égarés sans père ni mère. On sait pas s'ils sont venus là par curiosité ou bien par peur de l'hiver, mais comme tous les gens là-bas croient que même les singes ont une âme, ils donnent tout ce qu'ils ont pour qu'on les ramène dans leur forêt, pour qu'ils trouvent leurs habitudes, leurs amis. C'est pour ça qu'on trouve des trains pleins de petits singes qui remontent vers la jungle.
Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Information-silk.svg Citation choisie citation du jour pour le 28 mars 2011.
Albert : Il est autant anglais que Lawrence d'Arabie est arabe. Perfidie légendaire !
Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Citations « Un singe en hiver » sur Wikiquote, le recueil de citations libre
Un singe en hiver est un film d'Henri Verneuil sorti en 1962. Les dialogues sont signés Michel Audiard.
Attention aux roches, et surtout, attention aux mirages ! Le Yang-tsé-Kiang n'est pas un fleuve, c'est une avenue. Une avenue de 5000 km qui dégringole du Tibet pour finir dans la mer Jaune, avec des jonques et puis des sampans de chaque côté. Puis au milieu, il y a des… des tourbillons d'îles flottantes avec des orchidées hautes comme des arbres. Le Yang-tsé-Kiang, camarade, c'est des millions de mètres cubes d'or et de fleurs qui descendent vers Nankin, puis avec tout le long des villes ponton où on peut tout acheter, l'alcool de riz, les religions… les garces et l'opium…
Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Aux chiottes les Teutons ! Bande de mange-merde !
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Si je buvais moins, je serais un autre homme, et j'y tiens pas !
Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Ah ! Nous y voilà ! Ma bonne Suzanne, tu viens de commettre ton premier faux pas ! Y a des femmes qui révèlent à leur mari toute une vie d'infidélité, mais toi, tu viens de m'avouer 15 années de soupçon. C'est pire ! Eh bien que t'a peut-être raison : qui a bu boira ! Ça faut reconnaître qu'on a le proverbe contre nous.
Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Ecoute ma bonne Suzanne, t'es une épouse modèle ! Mais si, t'as que des qualités ! Et physiquement t'es restée comme je pouvais l'espérer : c'est le bonheur rangé dans une armoire. Et tu vois même si c'était à refaire, je t'épouserais de nouveau. Mais tu m'emmerdes... Tu m'emmerdes gentiment, affectueusement, avec amour mais TU - M'EN - MERDES!
Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Les gastronomes disent que c'est une maison de passe et les vicelards un restaurant chinois.
Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Dis-toi bien que si quelque chose devait me manquer, ce ne serait plus le vin, ce serait l'ivresse !
Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
En Chine, quand les grands froids arrivent, dans toutes les rues des villes, on trouve des tas de petits singes égarés sans père ni mère. On sait pas s'ils sont venus là par curiosité ou bien par peur de l'hiver, mais comme tous les gens là-bas croient que même les singes ont une âme, ils donnent tout ce qu'ils ont pour qu'on les ramène dans leur forêt, pour qu'ils trouvent leurs habitudes, leurs amis. C'est pour ça qu'on trouve des trains pleins de petits singes qui remontent vers la jungle.
Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
Information-silk.svg Citation choisie citation du jour pour le 28 mars 2011.
Albert : Il est autant anglais que Lawrence d'Arabie est arabe. Perfidie légendaire !
Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
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Dark
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superbe film ...la poursuite en moto estjuste incroyable ...qui en sait plus sur ces motos
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Dark
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J'aurais jurer une japonaise ....merci Elvis
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